Reseñas recientes de La Légion d'Akira

Un pack proposant de belles estampes japonaises de l'époque d'Edo, dont une particulièrement difficile.

Une très bonne table. Le plateau est très bien pensé et propose une difficulté à la hauteur des joueurs les plus exigeants. Le thème de "Massacre à la tronçonneuse" y est superbement retranscrit notamment grâce à un sound design efficace. Exigeante, cette table ne vous accordera pas la moindre erreur d'appréciation et il va vous falloir une bonne dose de sang-froid durant les phases de multiball. Irréprochable sur l'aspect visuel, on est aussi ici, sur toute l'expertise de gameplay de Zen Studios qui maîtrise son sujet comme aucune autre production du genre. Si vous désirez autant de plaisir que de défi, alors vous êtes au bon endroit.

Inspiré par Space Invader, Distant Space est un petit jeu au style épuré avec un effet visuel rappelant la 3D en relief d’une autre époque. Les deux morceaux musicaux, un pour le menu et un autre proposé en jeu, bien qu’adaptés au genre, ne sont pas transcendant pour autant. Très court et offrant peu d’options, le jeu est accessible et ne vous donnera pas de fil à retordre, que cela soit de la part des ennemis basiques ou des boss. Les succès sont faciles et le 100% est à la portée de tous.

Bien que le thème des extra-terrestres et des soucoupes volantes ait un fort potentiel, celui-ci s'en trouve quelque peu gâché par des images sans véritables identités. Ainsi, il y a peu d'intérêt à les reconstituer. A son tarif normal, ce lot est particulièrement onéreux pour ce qu'il propose. Si malgré tout, la curiosité vous pousse à vous laisser tenter, attendez une très grosse remise avant de céder.

Plaisant, c'est un pack très coloré et pour tous les niveaux, de débutant à confirmé. Les illustrations y sont riches et assez détaillées pour s'y retrouver sans avoir à s'arracher les cheveux, enfin, pour ceux qui en ont encore bien entendu ! Avec presque trois mille pièces à placer, c'est un dlc qui vaut bien son prix.

PP2 Anime regroupe 25 puzzles dans un style japanime très coloré et rafraîchissant. La difficulté y est parfaitement équilibrée sans jamais devenir insurmontable, ce qui rend ce pack intéressant pour les novices qui désireraient progresser. Le style des illustrations à reconstituer est plaisant mais sans plus. Pour les adeptes du genre, seuls 4 ou 5 puzzles du lot se révéleront intéressants.

Un flipper au thème très sympa et qui respire le travail fait avec passion ! Il y a beaucoup de petits détails remarquables qui rendent l'ensemble agréable à regarder et l'ambiance d'Halloween y est respectée. Le design du plateau est simple mais reste amusant et c'est ici l'objectif principal.

Un jeu court mais réussi. Poétique et dans le même esprit que Inside de Playdead. La réalisation générale est parfaite et le soundesign juste magistral. Curieusement, j'ai été étonné d'un certain attachement à la locomotive. Le gameplay est simple et accessible : on comprend comment tout fonctionne très vite.

Il y a des tonnes de casse-briques et celui-ci ne fait pas mieux que les autres, mais il fait quand même les choses d’une façon plutôt correcte. Particulier à la souris, je recommande une manette si vous ne voulez pas devenir fou ! La musique devient vite agaçante, mais moins que les effets sonores que j’ai coupé au bout de 10 minutes. L’aspect visuel manque cruellement de personnalité mais c’est chaud et coloré alors ça passe. Dans un premier temps et jusqu’au niveau 35, le jeu ne prend aucun risque, la suite se révèle intéressante et plutôt amusante surtout concernant les malus. 100 niveaux, deux modes et un multijoueur local étonnamment bien pensé ! Pas de bugs d’aucune sorte en vue. Idéale pour faire découvrir le genre, les amateurs y trouverons aussi leur compte notamment grâce au système de combo plaisant. En somme, c’est ni bon ni mauvais et très probablement que vous y prendrez du plaisir sur quelques heures. Un peu cher pour ce qu’il propose, je recommande d’attendre un belle promo.

Un bon Final Fantasy à l’ancienne. C’est bien simple, ce remake en 3D est réussi sur tous les plans et ce même si le matériel de base était déjà irréprochable. Ce quatrième volet fait la part belle à une histoire profonde et intéressante chapeautée par une composition musicale d’un Nobuo Uematsu qui maîtrise son sujet comme personne. Le level design du monde, des villes et des différents donjons est une démonstration de savoir-faire qui se place dans les plus hautes sphères de l’industrie du jeu vidéo ! Avec une belle durée de vie de 40h minimum, ce Jrpg à la difficulté old-school mettra vos nerfs à rude épreuve. Oui, Final Fantasy IV ne s’adresse pas aux joueuses du dimanche matin en grenouillère licorne (la preuve : seulement 15 % des joueurs en arrivent au bout à ce jour) Sur cette version, la rejouabilité est présente et propose même un sacré défi à qui osera s’y frotter ! La phase finale du jeu en mode normal offre déjà de quoi vous rendre marteau alors en difficile préparez votre camisole de force. D’un point de vue personnel j’ai toujours eu du mal sur ce volet, principalement à cause du chara-design : le seul personnage pour qui j’ai de l’affection c’est Rydia. Je trouve également que l’histoire manque de fantaisie, elle est trop « sérieuse » pour être véritablement divertissante. Après c’est juste une histoire de préférence, car le jeu en tant que tel est indiscutablement une œuvre magistrale.