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Monster and Monocles est disponible depuis le 16 août dernier en early-access sur Steam. Il s’agit d’un twin-stick shooter au look retro-pixel développée chez Retro Dreamer qui coûte 14,99€ (hors promotion).

Pour le coup, c’est un petit jeu qui n’invente rien dans le genre, n’empêche qu’il propose quelque chose d’intéressant. Tout d’abord, Monster and Monocles est calibré pour la coopération (locale et en ligne), on peut très bien y jouer en solo, mais l’expérience prend tout son sens en multijoueur. En effet, tous les joueurs partage la même barre de vie, ainsi il va falloir vous entraider afin de ne pas mourir bêtement. En début de partie, vous commencez avec un petit revolver et c’est en tuant les monstres que vous récupérez argent, arme et power-up. Une chose que je trouve assez cool, c’est que chaque partie est différente. La grande mode, chez les développeurs, est d’essayer de casser la routine des joueurs en proposant du contenu généré de manière procédurale comme pour No Man’s Sky ou les souterrains dans The Division. Dans Monster and Monocles, vous ne jouerez donc jamais deux fois le même niveau, mais ce n’est pas tout, ce sont aussi les objectifs de chaque niveau qui changent. En effet, pour pouvoir terminer un niveau, vous devez valider un objectif qui peut être de tuer un certain nombres d’ennemis ou bien de cibler un ennemi bien spécifique.

Pour ma part, j’aime ce genre de jeu qui permet de jouer sur de courtes sessions et qui mise avant tout sur un gameplay exigeant, c’est clairement le cas pour Monster and Monocles qui n’est pas réellement difficile mais qui propose tout de même un réel challenge. Puis c’est un jeu qui est plus profond qu’il n’y parait: les armes n’utilisent pas de munition, mais il y a un système de surchauffe (qui varie selon l’arme utilisée) qui rend votre arme inutilisable durant quelques secondes, il y a aussi tout un tas d’amélioration à looter sur les ennemis, il faut aussi apprendre les patterns des monstres et des boss afin de minimiser les dégâts subies.

Si le gameplay est déjà assez riche est exigeant, le jeu jouis d’une bande son de qualité mais aussi d’animations solides, ce qui fait qu’on ne confond pas les décors avec les ennemis et que l’on à aucune difficulté à se déplacer malgré la multitude d’effet à l’écran. Tel qu’il est je me demandais pourquoi Monster and Monocles est sorti en early-access et pas directement en sortie, j’ai trouvé ma réponse avec la roadmap du jeu qui a été ouvert au public. Et effectivement, Retro Dreamer va ajouter énormément de contenu: de nouveaux environnement pour les niveaux, de nouveaux objectifs, le support des mods…

https://www.youtube.com/watch?v=2GSthvpeeN8

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Habitué à proposer des F2P sur la plateforme Arc, Perfect World, fait valoir son expérience avec des jeux B2P, nous en avons eu un aperçu avec la série Torchlight développé chez Runic Games. C’est aujourd’hui au tour de Livelock, le shooter de Tuque Games, de sortir pour le meilleur ou pour le pire.
ortie le 30 août après avoir été repoussé d’un mois, ça fait déjà un long bon moment que j’ai commencé à jouer à Livelock puisque j’y ai accès depuis début août. Clairement, Livelock est axé sur le multijoueur (même si on peut tout faire en solo) et c’est là ou il est le meilleur. Pour information, il s’agit d’un shooter dans la lignée de Helldivers mais avec ce côté scénarisé que j’ai trouvé un peu cheap mais j’y reviendrais plus tard.

Grosso modo, vous incarnez un robot qui doit mettre un terme à la guerre qui sévis entre les 3 factions qui contrôle la planète pour ensuite restaurer l’humanité. Vous pourrez prendre les traits de 3 robots que sont Hex, Catalyst et Vanguard qui sont des archétypes de classes.

• Hex qui est le soldat de base
  
• Vanguard spécialisé dans le combat au corps à corps
  
• Catalyst agit en tant que support

Comme je le disais plus haut, vous pouvez partir en solo ou en coopération jusqu’à 3 joueurs. Il y a deux modes de jeu: la campagne et un mode survie où vous devez détruire des vagues d’ennemis successives. La campagne reste le gros morceau et pour le coup, je l’ai plutôt apprécié, il est vrai que le scénario est anecdotique (et mal mis en scène) mais Tuque Games à tout de même fait l’effort de proposer une campagne scénarisée ponctuée de cinématiques au style comics et totalement doublé en français (voix et texte).

La campagne ne devrait pas vous prendre énormément de temps puisqu’il faut 7/8 heures pour terminer la vingtaine de missions. Ce n’est pas quelques choses de forcement négatif puisque le jeu offre une assez bonne rejouabilité, les niveaux proposent aussi des activitées différentes comme de l’escorte, ou des combats de boss. Bien que le jeu soit très linéaire, vous avez la possibilité de farfouiller à droite à gauche afin de récupérer des enregistrements qui vous en apprennent plus sur le jeu. En effet, il y a une partie levelling qui fera progresser vos robots jusqu’au niveau 30, afin de débloquer des armes (5 différentes par robots), des capacités spéciales et passives.

Au-delà de la partie levelling, il y a un petit système de ressource à ramasser en jeu afin d’améliorer la puissance de vos armes. C’est sans compter le côté arcade du jeu, qui fera que l’on recommencera les niveaux afin d’obtenir le meilleur score possible. Vous pourrez accéder au classement de chaque niveau en solo, coop à 2 et à 3.

Quant à son gameplay, Livelock est un jeu plutôt nerveux, il n’y a pas de friendly-fire donc c’est un peu plus tranquille qu’Helldivers par exemple.Il y a un élément de gameplay que je trouve assez intéressant et cela concerne l’utilisation des armes. Vous pouvez utiliser 3 armes parmi les 5 déblocables par classes, une arme principale, qui utilise des munitions à l’infini, une secondaire qui demande des munitions spéciales à ramasser durant les parties et la dernière qui fonctionne sur le même principe. Ca ajoute un peu de tactique, sur le fait bien choisir le bon moment pour utiliser les munitions des diverses armes, on va éviter d’utiliser les munitions de l’arme la plus puissante pour les garder contre les élites.

En ce qui concerne, les ennemis vous n’affronterez que des robots qui adoptent sont tous plus ou moins différents, vous noterez que l’IA est basique et que’elle ne fait qu’attaquer bêtement, il n’y a pas de nuance à ce niveau là. La difficulté du titre vient d’ailleurs de la résistance des ennemis et des dégâts qu’ils infligent plutôt que par leur comportement. Une chose que j’ai apprécié, les combats de boss. Je peste un peu de plus retrouvé de boss digne de ce nom dans les jeux de nos jours. Et Livelock, en apporte quelques un, ça fait presque old-school de voir des boss dans un jeu vidéo, mais passons. Ils ne sont pas tous intéressants et notamment le boss de fin qui est quand même bien naze, mais j’ai trouvé ça fun.

https://www.youtube.com/watch?v=8DyZi6mLnaA

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Silence : The Whispered World 2 est l’une des dernières sorties de chez Daedalic, cet éditeur/développeur connu pour la série des Deponia entre autres. Il s’agit de la suite des Chroniques de Sadwick sortie en 2010 sur PC. Silence est une aventure dans un monde imaginaire sous la forme d’un point’n’click, ce n’est pas un genre qui m’attire habituellement mais c’est parfois bon de changer ses habitudes et c’est en ce sens que je vous propose ce test aujourd’hui.
Dans Silence, on incarne Noah et sa sœur Renie. L’histoire débute pendant le bombardement de la ville où réside nos héros. Fuyant le raid aérien, ils se cachèrent dans un bunker… qui ne résista pas à l’attaque. C’est ainsi que Noah se mit à chercher Renie après son réveil sous les décombres. Noah arrive ainsi dans le monde de Silence où Renie semble s’être perdue…

Cette introduction est déjà riche d’enseignement puisqu’elle présente notre couple de héros, un frère et une sœur très proche. Nous découvrons aussi le monde de Silence et c’est d’ailleurs dans ce monde que se déroule l’aventure. Noah va vouloir trouver sa sœur puis trouver un moyen de rentrer chez lui.

Le jeu vous laissera prendre le contrôle de Noah puis de Renie à tour de rôle dans un point’n’click plutôt simple. De ce point de vue, Silence ne vous offrira aucun challenge puisque les 3/4 du temps il suffira de cliquer sur tel objet pour continuer, il y a très peu d’énigmes et quand il y en a, elles sont beaucoup trop faciles. Sachez aussi, qu’il n’y a pas de gestion d’inventaire, ainsi tous les objets que vous récupérerez seront à utiliser dans la scène en cours. Chaque tableau est coupé de manière similaire, ceux-ci sont en général composé de deux scènes entre lesquelles vous ferez quelques aller-retour ponctués de temps de chargements un peu trop long. On peut dire que Silence peine clairement dans son gameplay trop simpliste et sa progression linéaire.

Silence possède d’autres qualités comme sa bande-son, son doublage et sa direction artistique. Silence est sans contestation, l’un des plus beaux jeux (artistiquement parlant) qu’il m’est été donné de voir. Le jeu est une immense réussite à ce niveau. Qu’il s’agisse des animations, des passages lumineux, sombres… le tout est vraiment remarquable.

L’autre grande réussite de Silence, c’est le couple de personnage Renie/Noah et la relation fraternelle entre eux. Noah, le grand frère attentionné et protecteur avec sa petite sœur Renie, innocente et pleine de paillette dans les yeux. Il y a bien d’autres personnages que nos héros rencontreront mais ils sont bien trop peu mis en avant et c’est bien dommage. En effet, une « Fausse Reine » dirige Silence et transforme la population en traqueur chargé de récupérer un fragment de miroir afin qu’elle recouvre ses pouvoirs. Kyra et ses amies forment la résistance et vont accompagner Renie et Noah dans leur quête. La narration de Silence est soigné mais linéaire, il y a bien quelques choix de réponse dans les dialogues mais ils n’ont aucunes incidences sur la suite de l’aventure sauf le dernier choix qui vous conduira vers l’une des deux fins possibles du jeu. N’oublions pas Spot, la petite chenille qui accompagne Noah et Renie. Spot pourra utiliser ses capacités pour passer certaines énigmes en s’aplatissant comme une crêpe ou en gonflant comme un ballon pour pousser un rocher par exemple.

Au final, Silence est un jeu qui souffle le chaud et le froid. Artistiquement, le jeu frise l’excellence et c’est peu dire que son gameplay n’est pas à la hauteur. Le résultat est correct et c’est bien dommage car cela aurait du être excellent.Il ne faut pas oublier la durée de vie d’environ 6h tout en tenant compte de son prix 29,99€. Autant dire que je conseille ce titre aux personnes ayant fait les Chroniques de Sadwick. Et aux autres, je vous conseillerais d’attendre une promotion pour vous le procurer.


https://www.youtube.com/watch?v=3PFNHOZFZBQ

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Annoncé lors de la Gamescom 2015 et présenter lors de l’E3 2016, le nouveau titre de Compulsion Games: We Happy Few vient tout juste d’arriver en early-access sur Xbox One et PC pour la modique somme de 27,99€. Il s’agit d’un jeu de survie dans un univers assez original puisqu’il reprend l’Angleterre des années 60 ddans une dystopie. En effet, la « joy » est une drogue présente au cœur de la société qui est censé apporter le bonheur aux gens…

Le titre n’est cependant pas arrivé dans un état complet, puisqu’il s’agit d’une sortie en early-access qui ne propose actuellement qu’environ 50% de ce que Compulsion Games compte proposer à terme, cette période d’early-access devrait durer 7 à 8 mois.

Et pour le coup, nous avons droit à une sorte de prologue qui présente les prémices de l’aventure, où l’on découvre un univers loin d’ être utopique où finalement ceux qui ne prennent pas de « joy » voient le monde tel qu’il est. Le but du joueur sera donc de survivre dans un jeu… de « survie » où après chaque mort la carte de générée de manière procédurale. Vous devrez donc prendre en compte vos besoins: le sommeil, la soif, la faim… Cependant, nous ne sommes pas dans un monde post-apocalyptique remplie de zombies ou de créatures génétiquement modifiées. Tant que vous êtes sous « joy » la population ne vous attaquera pas et finalement la recherche de ressource est plutôt tranquille car vous n’avez pas la peur de vous faire attaquer par une bestiole. Il y a donc un petit côté exploration qui est renforcé par les petites quêtes que vous donnent certaines PNJ pour leur venir en aide par exemple. Il y a aussi un système d’artisanat plutôt simple mais indispensable à votre survie et pour votre progression, car il semble pour valider certaines quêtes vous devrez parfois créer des objets. Il en va de même pour les armes que vous pourrez créer, pour vous défendre. J’ai eu l’occasion de me frotter à quelques PNJ et j’ai trouvé le système de combat plutôt bien fichu, c’est surtout l’IA qui m’a paru bonne. Elle ne se rue pas sur vous tel en berserker en mode rage, mais essaye de vous faire baisser votre garde, en essayant de vous contourner, cela est encore plus frappant lorsque vous affrontez plusieurs adversaires.

Côte graphisme, We Happy Few a vraiment beaucoup de charme et la direction artistique (tout comme l’ambiance du jeu) nous rappel vraiment Bioshock. J’ai été surpris de voir un jeu partiellement traduit (quasiment tout le jeu est déjà en français) avec un doublage anglais pour le moment de qualité. Puis l’Unreal Engine rend particulièrement bien, sur ce titre qui est jolie et qui tourne vraiment très bien en ce début d’early-access, je n’ai pas rencontré de bugs si ce n’est un peu de tearing et de clipping, bref rien de bien méchant à ce stade du jeu.

Pour le moment, je ne sais pas trop quoi penser concernant We Happy Few, il y a ce côté jeu de survie où je me dis « encore un quoi » et puis il y a cet univers qui dénote complètement avec la production actuelle des jeux de survie. Bref, je vous dirais d’attendre un peu avant de céder à la tentation. Quoi qu’il en soit, je continuerais mon aventure sur le jeu à fur et à mesure de l’ajout de contenu et je n’hésiterais pas à vous donner mon avis à l’avenir.

https://www.youtube.com/watch?v=QbDwpsOCn1A

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The Lion’s Song est une aventure narrative que nous devons au studio autrichien Mi’pu’mi. Il nous plonge au début du 20ème siècle et raconte l’histoire de plusieurs artistes/scientifiques sous un format épisodique. Le premier épisode est totalement gratuit et vous le trouverez sur Steam (bientôt sur iOS et android).
Ce premier épisode introduit la jeune musicienne Wilma qui peine à trouver l’inspiration et qui sous l’impulsion de son professeur (qui est aussi son amant) va profiter du calme dans une cabane perdue au fin fond des Alpes.
L’aventure prend la forme d’un point’n’click plutôt accessible et assez intuitif. L’interface est minimaliste et on interagira avec le décors pour avancer dans le titre. Il y a aussi des dialogues et cela semble avoir une importance puisqu’ils nous permettront de prendre des décisions qui devraient avoir une influence dans les prochains épisodes comme le fait Telltale. L’ambiance mélangeant pixel-art, bruitages et mélodies correspondent totalement à la narration. Ce qui rend l’aventure encore plus prenante alors qu’elle est plutôt courte, comptez 40 minutes pour terminer cet épisode. Je pourrais pester contre sa durée. Cependant, cet épisode est réussi et gonfler sa durée de vie juste pour le fun aurait appauvri la qualité du titre, il faut parfois prendre les choses telles qu’elles sont et ne pas attendre du titre qu’il soit comme on l’aurait voulu.
Mi’pu’mi a prévue quatre épisodes pour lesquels il faudra s’acquitter du saison-pass pour 9,99€ et si la suite est de la qualité du premier épisode, vous pouvez y aller en fermant les yeux. Pour le moment, seule le premier épisode est gratuit et je vous conseille de l’essayer, c’est tout de même une expérience qui ne conviendra pas à tout le monde, cependant, la diversité ne peut pas vous faire de mal.

https://www.youtube.com/watch?v=-BHMi026MBs

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Ayant backé le jeu sur Kickstarter, autant dire que j'attend Wolcen (sa version fiale de pied ferme). Du coup que dire, sur cette alpha vendue 20€.

Et bien pour le moment j'en suis satisfait: n'attendez pas trouvez une expérience proche de Diablo, Patch of Exile ou encore Grim Dawn. Wolcen est encore un loin d'être terminé, là où je peut dire que je suis satisfait, c'est qu'en l'état toute l'attention de l'équipe de développement semble se portée sur le corps du jeu (pas encore d'histoire, ni même de progression, de builds...) et depuis la sortie du jeu en early-access, les améliorations sont belle et bien là.
Les mises à jours sont régulières et l'équipe n'hésite pas à communiquer autour du jeu via les patch-notes et d'autres posts/videos sur les technologies du jeu.
A titre perso, je ne m'attend pas à jouer à la version finale avant 2017, Alors certes, c'est 20€, ce n'est pas un énorme investissmeent mais quand même. Pour le coup, si vous avez envie de soutenir un projet qui semble sérieux, je pense que vous pouvez y allez les yeux fermés et si vous attendez une expérience proche du'n jeu fini, vous devriez attendre encore un peu.

https://www.youtube.com/watch?v=TnuJyQZ-JUI

Globalement, Shiro Games a effectué du très bon travail avec Evoland 2 a tel point qu’il est difficile de ne pas le recommander. C’est un jeu qui sifflotera tendrement dans les oreilles des fans de JRPG à l’ancienne. Malgré quelques défauts plutôt mineurs, Evoland 2 reste donc un must-have et si vous n’êtes pas convaincus son prix devrait finir de le faire puisqu’à 19,99€ autant dire que l’investissement vaut largement la peine.

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Mondragora arrive avec Skyhill et le résultat manque de punch, certes le jeu est plutôt intéressant mais il offre bien trop peu de variété et de re-jouabilité pour vous occupées bien plus que quelques heures, un comble pour un rogue-like. Néanmoins, le tout est très soigné, qu'il s'agisse de la bande son, des graphismes et même de l'aspect technique du titre. On sent que l'équipe en garde sous le pied, espérons que ces défauts soient réglés avec leur prochain titre.

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Alors que Funcom annonçait The Park d'une manière très discrète, quelle surprise de découvrir une aventure réussie en ce qui concerne son scénario et son ambiance générale. Le résultat est la hauteur même si la formule manque encore de peps, espérons que Funcom réitère ce genre d'expérience.

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Après avoir conquis la PS4, Helldivers débarque sur PC pour le plus grand bonheur des joueurs avide d'expérience multijoueur. Et en ce qui concerne Helldivers, la mission est remplie haut la main. Après Magicka, Arrowhead réussit à lancer un nouvel univers (persistant qui plus est) avec brio, et si quelques défauts viennent tout de même ternir l'expérience, Helldivers reste une valeur sûre.

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