ติดตั้ง Steam
เข้าสู่ระบบ
|
ภาษา
简体中文 (จีนตัวย่อ)
繁體中文 (จีนตัวเต็ม)
日本語 (ญี่ปุ่น)
한국어 (เกาหลี)
български (บัลแกเรีย)
Čeština (เช็ก)
Dansk (เดนมาร์ก)
Deutsch (เยอรมัน)
English (อังกฤษ)
Español - España (สเปน)
Español - Latinoamérica (สเปน - ลาตินอเมริกา)
Ελληνικά (กรีก)
Français (ฝรั่งเศส)
Italiano (อิตาลี)
Bahasa Indonesia (อินโดนีเซีย)
Magyar (ฮังการี)
Nederlands (ดัตช์)
Norsk (นอร์เวย์)
Polski (โปแลนด์)
Português (โปรตุเกส - โปรตุเกส)
Português - Brasil (โปรตุเกส - บราซิล)
Română (โรมาเนีย)
Русский (รัสเซีย)
Suomi (ฟินแลนด์)
Svenska (สวีเดน)
Türkçe (ตุรกี)
Tiếng Việt (เวียดนาม)
Українська (ยูเครน)
รายงานปัญหาเกี่ยวกับการแปลภาษา
Disait au revoir à ses petits enfants
Traînant ses pieds, ses pieds dans la poussière
Il s'en allait combattre les éléphants
Ah les crocrocros, les crocrocros, les crocodiles
Sur les bords du Nil, ils sont partis n'en parlons plus
Ah les crocrocros, les crocrocros, les crocodiles
Sur les bords du Nil, ils sont partis n'en parlons plus
Il fredonnait une marche militaire
Dont il mâchait les mots à grosses dents
Quand il ouvrait la gueule tout entière
On croyait voir ses ennemis dedans
Ah les crocrocros, les crocrocros, les crocodiles
Sur les bords du Nil, ils sont partis n'en parlons plus
Ah les crocrocros, les crocrocros, les crocodiles
Sur les bords du Nil, ils sont partis n'en parlons plus
Un éléphant parut et sur la terre
Se prépara ce combat de géants
Mais près de là coulait une rivière
Le crocodile s'y jeta subitement
⢰⣿⣿⠛⠛⠿⠁ ⢀⣀⣀⡀
⢺⣿⣿ ⣀⣶⣷⣿⣿⣿⣿⣿⣷⣦⡀⢀⣤⣶⣤⣀
⢼⣿⣿⣦⡀ ⢰⣿⣿⣿⣿⠛⢿⣿⣿⡿⢻⣿⡆⠈⠛⣿⣿⣷
⠻⣿⣿⣿⣦⣤⣶⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⠁ ⢀⣸⣿⣿⡂
⠸⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⢟⣀⣤⣶⣿⣿⣿⠟
⣹⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⡿⠿⠉
⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⠛⠋⠉
⣸⣿⣿⣿⣿⣿⣿⡿⠿⠿⣿⣿⣿⣿⣿⠋
⠠⣿⣿⣿⣿⠍ ⣿⣿⣿⣿⣿
⢸⣿⣿⣿⠃ ⢻⣿⣿⣿⣟
⢸⣿⣿⣿ ⣿⣿⣿⣿⣀⡀
⠈⠻⠿⠃ ⠈⠻⣿⣿⣿⡷
⠈⠉⠉