Recent reviews by Dr.Gonzo

KCD 2 est tout ce qu'une suite peut rêver d'être.

En 2018, WarHorse Studio nous offrait une visite dans ce musée a ciel ouvert en pleine Bohème de l'an 1403. Me voici 6 ans plus tard, pour redécouvrir le jeu avec tout ses dlc et dans un état "jouable".

Et je suis particulièrement surpris, si KCD 1 en son temps était déja un jeu ambitieux, mettant de coté la formule des RPG modernes a la poubelle, préférant lorgner du coté de la simulation, loin de la surenchère et des mondes fantaisistes. Le but était bel et bien de donner vie a cet univers a travers l'étroite collaboration entre le studio et des historiens Tchèques afin d'offrir a l'une des périodes historiques clés du pays, le rayonnement qu'elle mérite.

L'idée de WarHorse était on ne peut plus risquer, raconter cette époque a travers des systèmes de jeu organique et interconnecté. Créant ainsi l'une des plus grandes Immersive Sim qu'il met été donné de voir. Comprenez par la que tout ; de manier une épée à apprendre a lire, avait reçu un soin particulier, qui a la manière d'un Oblivion n'augmentait pas par magie mais a force de pratique et d'entrainement.

Le tout pour mon plus grand plaisir de devenir un voleur grâce a un gameplay d'infiltration + souvent traité par les autres jeux en open world, comme un moyen de varié l'approche si l'action venait a vous ennuyé plutôt qu'un élément de jeu a part entière. Même certains jeux d'infiltrations récents n'ont pas la moitié des options que prend en compte la série des Kingdom Come. Ainsi la couleurs des habits que vous portez vous aiderons a vous fondre dans le décors plus facilement (vêtements noirs de nuit). Mais une armure produira plus de bruit, mais permettre de vous protèger si votre plan viens a échouer.

Tout est pris en compte sur la plupart des éléments de jeu, ainsi mes meilleurs moments ave le premier était souvent du a mes nombreuses heures passé a errer dans la map a la recherche de quêtes secondaires.

Et nous voila arrivez au problème du premier jeu : son HISTOIRE.
Si le plus dur avait été fait concernant les nombreuses mécaniques imbriqués, l'histoire principale du jeu est de loin la seule tache dans le tableau. De part son ton trés léger et souvent lourd, KCD 1 était plus une parodie du moyen age qu'un récit fidèle et nuancé de son histoire. Le tout accompagné par les prises de paroles franchement limite de son directeur créatif (Daniel Vavra) qui avait déclarer qu'il était persuadé qu'aucune personne de couleurs ne pouvait avoir existé a cette époque et que les femmes n'avaient aucun pouvoir, expliquant le rôle souvent secondaire malgré ce qu'en attestait des documents historiques..

Et si malgré tout les quêtes restaient très variés dans leurs approchent, le traitement des personnages que l'on rencontrait était souvent très caricaturales, et présentait une vision très romancé de cette époque. Ou la noblesse tchèque était vu comme les "gentils" plein d'honneurs, prêt a se retrousser les manches pour défendre leurs terres et celles de ses habitants. Hommetant les nombreuses crises que traverses le pays, souvent évoqués par ci, par la mais rarement traité.
Le pire restant souvent le traitement de son personnage principale, Henry. Fils de forgeron, ayant grandi dans un petit village. Qui va voir sa famille mourrir et souhaité suivre une quête de vengeance pour ramener la dernière épée forgé par son père a son seigneur et père Biologique : Radzig.

Car finalement, Henry reste un réfugié orphelin très peu de temps, le tout pour être catapulté dans des affaires de nobles qui sont tjrs d'un grand soutien pour le jeune homme malgré sa classe social et sa condition. Il va vite évolué socialement, le tout en vivant des aventures qui défient toute la crédibilité historique du titre, le tout accompagné de nombreuses romances volages, qui n'auraient rien a envier a une pub AXE.

Et c'est fort dommage car par son ton inconsistant et la qualité balbutiante de son écriture, le jeu ne parvient que trop rarement a nous faire croire a son univers dés que l'on touche a la quête principale. En ne prenant jamais le temps de nous faire découvrir a travers ses quêtes, différentes facette d'une histoire complexe et nuancé ou les brigands que l'on combat sont des paysans affamés par les taxes des nobles et ou la religion qui fait peser un poids important sur le mode de vie des bohémiens.

Sans même évoqué le manque de diversité culturelle du jeu, c'est avant tout navrant de voir que l'écriture reste son plus gros point faible. Heureusement que la VF est la pour nous faire sourire avec un doublage et des animations très série B qui aide a passer outre quand on ne s'ennuie pas a écouter des nobles vociférer sans fin des scènes d 'expositions a base de name dropping qui n'a rien d'excitant pour le réfugié batard que j'incarne.

J'espère que sa suite sera relevé le niveaux, car même ce gros point noir ne serait réduire l'accomplissement tentaculaire dont a fait preuve le studio pour, (on le rappelle) leur premier jeu. Les cartes sont entre leur mains et j'espère que le deuxième épisode viendra me prouver que cette équipe a tiré parti de ses erreurs passés :)

Pas un Uncharted like, mais bel et bien le jeu d'aventure de 2024 !

Je ne suis qu'au deuxième niveau du jeu a l'heure ou j'écris cette critique (20h et je prends mon temps).
Et ce que je peux dire c'est que je suis comblé et surpris par ce jeu.

The great circle est un jeu vidéo comme on fait que trop peu, qui est construit non pas autour d'un modèle prédéfinie, mais comme l'ensemble d'éléments qui nous font vivre une expérience fidèle et cohérente avec la licence qu'il adapte.

Le jeu nous propose donc des phases ouvertes, dans des niveaux bien plus vastes qu'un Dishonored avec la même liberté d'approche sans les pouvoirs. De l'exploration a base d'énigme pas difficile mais très divertissante, aidé par une mise en scène somptueuse. Et de l'action frénétique et savamment orchestré, avec un sound-design aux petits oignons qui donne a chaque uppercut un léger écho qui raisonnera jusqu'a ce que le visage de votre enemie s'écrase sur le sol.

J'avais peur d'un jeu sans ambitions qui suivrait ce qui a déja été fait dans le genre comme la série des uncharted mais c'est la une vrai proposition que vous ne pouvez pas manquer.

Produit avec soin, un moteur magnifique qui rend chaque détails des décors palpable, et qui nous transmet l'envie de voyage et d'aventure, ainsi que l'émerveillement que ressent Indi face aux merveilles qu'il découvre.

Le tout accompagné d'un VF juste incroyable et on obtient un incontournable !

En plus il y a un appareil photo et un journal ou on y range des recettes typiques des pays que l'on visite, nos photos et des croquis pour retracer les moments fort d'une expérience que je n'oublierai pas de si tôt !

Merci mille fois Machine Games

Pépite !

Après ma découverte à l'époque d'Obra Dinn avec mon ex et notre découverte de ce qui est devenu un mes genres de jeu préféré : les jeux de déduction sauce détective !

J'ai en suite appris qu'un autre prétendant avait foulé ce genre nouveau et si ce fut a reculons que j'approcha le tire, croyant que rien ne pouvait égaler Obra Dinn, je me fourvoyait ! Golden Idol est devenu un de mes jeux préférés. Plus robuste que son prédécesseur, il en est la suite logique autant de par sa difficulté un poil plus relevé et son style singulier.

Le concept est simple, élucidé les événements qui ont eu lieu sur chacun des tableaux que vous aller exploré. Le tout racontant une histoire captivante que j'ai pris un malin plaisir a découvrir grâce a la maîtrise du jeu sur l'art de disséminé ça et la des détails qui seront utiles pour plus tard. Je dis ça, je dis rien ;)

Le jeu est aujourd'hui disponible en Français, avec 19 affaires a résoudre en comprenant les DLC inclus. Et si l'aventure vous plait, sa suite viens tout juste de sortir et devinez quoi : elle est toute aussi excellente ! :D

Dead Rising est un incontournable, mais il faut savoir ou lon met les pieds.

Bien avant que les jeux vidéo e monde ouvert trouve leur formule, le début de la 7ème génération de console était une terre de découverte et d'expérimentation, et DR en est l'un des plus beau concept !

Vous incarnez un photographe du nom de Frank West, chargé de comprendre comment la petite ville de Wilamette a fait pour plonger dans le chaos dans le plus total. Il s'agira ici d'une invasion de zombie, traité ici avec comme inspiration Dawn of the Dead de George Romero. Comprenez la une critique de la société américiane, du consumérisme, et des laissez pour compte.

Car si les hordes de zombies qui parcourent le centre commercial seront un obstacle pour notre héros, le vrai danger réside dans les nombreux boss trouvé ici et la et qui offrent de gros moment de tension manette en main. Cependant attention, car DR est un jeu qui peut s'avérer frustrant.
Déja il n'y a pas de sauvegarde auto. Il faudra aller dans des toilettes ou une salle de repos pour sauver sa progression. Au dela de ça, vous pouvez rajouter le timer, car DR est un des seul jeu qui prend en compte son intrigue et l'urgence qu'elle représente , et le transmet a travers son gameplay.

Ainsi il ne faudra pas trainer, et être a l'heure pour élucider le mystere de la quete principal. Et autant vous dire tout de suite, si vous découvrez le jeu, concentrez vous la dessus dans un premier temps. Car les nombreuses quetes secondaires qui vous demanderont d'affronter quelqu'un ou de sauver des civils et de les ramener a votre planque peuvent s'averer compliquer quand on est pas encore a l'aise avec le jeu.

DR est un jeu trés généreux, avec énormément de mécanique et de secret qui récomprense énormément les joueurs aguéris. Ainsi expérimenté, fouillé les lieux pour cerner les ressources que le jeu vous offre, et cuisinez/concoctez des plats et des boissons qui vous donnerons de sacré boost pour votre aventure.

Il ne faut pas avoir peur de recommencer certaines parties et d'aborder le jeu comme un rogue like. Surtout au début. Votre personnage est assez faible mais comme tout bon jeu, il gagnera en force tout au long de l'aventure. Que ce soiit sa force, sa vitesse ou de nouvelles aptitudes physique comme l'une des premieres qui consiste a monter sur les epaules d'un zombie pour passer au dessus d'un groupe par exemple.

Et encore une fois, Dead Rising exploite son personnage et son concept avec brio. Pour monter de niveaux, plusieurs solutions, la premiere, venir en aide a des civils et les escorter jusqu'a bon port. Attention cependant, chaque civil a sa particularité et certains demanderons des prédisposition pour vous suivre, comme un livre qui vous permet de parler japonais pour réussir a communiquer avec deux japonais perdu dans une bibliothèque. Et au dela de ça, chaque survivant aura sa particularité. Certains seront peureux la ou d'autres seront trs courageux et iront droit dans l'action. Certains seront bléssé et demanderont plus d'attention de votre part, vous privant des vos armes.
L'un des plus gros soucis du jeu résulte dans l'IA de ses civils qui se retrouveront souvent coincés par des zombies et dont la vie chute vite. A vous de ne surtout pasl es lacher et de garder un petit snack sur vous pour remonter leur pv au cas ou.
Sinon plus classique, tuer des boss et suivre la mission principale vous récompensera.
Mais Frank est aussi photographe, et le jeu incorpore ça, avec un systeme de photos que vous pourrez prendre pour enmagaziner de trés gros boost d'experiences. Il faudra a la manière du photo journalisme sensationnel, allez tjrs plus loin avec différents styles de photos.

Vous l'avez surement compris DEAD RISING est un jeu en avance sur son temps, qui a su exploiter son concept a merveille, et meme si le poids des années se fait sentir par moment avec un jeu plus dur qu'il ne faudrait du moins, dans ses premières heures. Il reste néanmoins un incontournable, et si ce jeu vous a plu, vous pouvez directement prendre le 2 qui sans aller plus loin, a le bon ton de corriger certains soucis du premier.

NE LOUPEZ PAS CE JEU !

J'étais très curieux de ce Path of the Godess.

Avec son habillage visuel hyper stylisé et somptueux, son envie de proposer un concept original liant musso et tower defense, le tout fourni avec des éléments cosmétiques et sonores issue d'Okami ! Tout dans ce jeu me rendait impatient d'y jouer.

Mais une fois la démo entre les mains, j'ai eu une sensation que le jeu n'était pas assez poussé et le tout m'a paru répétitif. Mais grâce au gamepass, j'ai pu m'essayer a la version complète et ça a fait clic !

Path of the Godess est un jeu qui va au bout de son concept et de ses idées, avec une mise en scène inspiré et des situations drastiquement différentes a chaque mission, renouvelant constamment notre interet pour le titre.
Pourtant l'absence de mode de difficulté fut un des points qui m'a le plus rebuté au début et même si le jeu ne se veut pas très difficile, son challenge se trouve entre vos mains.

Tout le monde peut finir path of the godess. Mais êtes vous capable de relevé les challenges cachés du jeu ? Ceux ci vous demandent d'exploité toutes les mécaniques et offrent une belle occasion d'explorer toutes les facettes de l'experience.
De plus, oui, les classes sont balancés de manière trés généreuses. Certains ont fait tout le jeu en comptant uniquement sur les deux premieres dispo (le bucheron et l'archer). Et si le jeu devrait revoir la balance du coup de certaines classes après avoir été amélioré. Le plaisir vient du fait de construire différentes synergies entre les classes. Investissez un peu partout et vous verrez tout de suite que chaque classe aura besoin de l'autre pour être optimale, offrant moins de redondance a l'ensemble de l'aventure et plus de tension dans vos missions.

Si vous doutiez encore, Path of the Godess est ce genre d'expérimentation très généreuse et hyper bien ficelé qui mérite notre soutien financier. Je l'ai moi même acheté alors que j'avais accès a cette pépite sur le gamepass, et je prend le temps entre chaque session de savourer ce jeu en remplissant tout les défis et en me creusant la tête pour speedrunner les boss.

Ne passez pas a coté de cet excellent AA :)

Pathologic 2 est de ses jeux étrange et unique qui sait captiver votre attention.

Vous voila plonger dans un univers haut en couleur, dans la peau d'un fils de médecin partie depuis 5 ans de sa ville natale (un lieu étrange ou les règles ne sont pas les même). Comme le dit si bien le jeu, peu de chose auront un sens au début de notre aventure, mais tout viendra avec le temps.

L'univers de Pathologic 2 se déploie petit a petit, nous laissant explorer les coutumes et le folklore de ses habitants. Dailleurs le jeu peut etre assez austere a premiere vue.

Dans Pathologic 2, vous revenez sous demande de votre pere, mais une fois arriver, la ville entiere veut votre peau. Celui ci a été tué et tout le monde vous prend pour le meurtrier. Les habitants vous chasserons dans les rues et voila déja une des premieres particularité du jeu.

Nous ne sommes pas dans un jeu vidéo classique. Vous pouvez vous battre mais c'est fortement déconseillé, déjà car n'importe quel ennemie peut vous réduire en miette très rapidement. Le système de combat est fait pour vous permettre de vous défendre, mais n'est pas un élément sur lequel se reposer.
Les ressources sont rares, les armes ou objets contondants se détériorent au fil de leur usage et vous devrez gérer ses ressources habillement. Je ne parle même pas de la difficulté a refaire le plein de santé, vous devrez troqué et fouiller a même les poubelles pour vous offrir de quoi manger.
Et même si vous finissez par obtenir une arme, je déconseille fortement de faire couler le sang. Car vos actions et vos choix sont au cœur du jeu. Et mieux vaut ne pas attiser la haine des habitants.

Tous ses éléments nous aide a nous plonger dans cet univers original qui prend le partie pris de nous faire perdre nos repères afin de faire vivre son récit a travers son gameplay. Et si cela ne suffisait pas, il vous faudra aussi composer avec le temps qui s'écoule bien vite. Tout ne peut pas être résolu dans les temps et il faudra bien choisir. Mais n'ayez crainte l’échec fais partie du cycle. Et vous n'arriverez pas a tout faire dés le début.
Ne vous mettez pas trop la pression et n'hésitez pas après quelques heures a relancé la partie une fois vo expérimentations faites.

J’espère que cet avis aura su vous donnez les clés pour appréhender le jeu. Il n'est clairement pas fait pour tout le monde, mais il embrasse ses nombreux partis pris, et donne vraiment au joueur curieux un voyage qu'il n'est pas pet d'oublier, et ça, c'est toujours très précieux :)

I've never played something like Rain World but the game recaptured the best feeling I ever felt since I am playing videogame : a true sense of discovery.

The gameplay is tight with great control and a lot of actions and movement's mechanic you will learn by exploring naturally the environements in a non linear map. Here there is no power up, it's a knoledgevania where u have to explore and experiment in order to progress. U can go in many direction from the start.
I launched 3 differents run, and I ended up in places unknown to my prior attempt.
The world of rain world feel so much alive and unpredictable.
Understanding how it works will be necessary for your progress but death and failue will be part of the trip. Just remember, every time you give it a chance, go as blind as possible. This is not an hardcore game. You can play it from many ways and it has many secrets behind his systemical environement.
However the game can be tough sometimes, don't hesitate to choose the monk if it feels to punishing for u (its the easy mod).
Don't wory, beating the game still require a lot of investment however help will arrive in many forms adjusting to let u settle more eazilly.

After Outer Wilds I was desperatly looking for something that could send me back to what I felt the first time I discovered video games.

Thanks again to Videocult for the extraordinary adventures I had with the game and those that will follow ! :)

SF 6 frappe fort avec un contenue bcp plus complet que le V a s sortie. Le gros plus pour un gros débutant des jeux de bastons c'est tout les guides et autres tutos hyper fournis et trés bien expliqué du jeu pour apprendre les persos, les combos et autres subtilités de gameplay.

Tout bonnement un excellent épisode pour débuté !

Après de nombreux letsplay, je peux dire que Prey est de ses jeux qui c'est amélioré avec le temps.

Voici la une immersive sim bien supérieur a la série des Dishonored, car en gardant le principe de tout permettre au joueur, Arkane décide cette fois de nous mettre dans la peau d'un humain fragile face a des hordes créatures éthérés menaçantes.
Il va falloir rusé pour venir a bout du jeu, car foncé tète baissé résultera très certainement en votre mort.

C'est un jeux ou tout est possible qui souffre quelques peu de sa durée de vie un poil trop longue mais qui n’enlève rien a la qualité du titre. Clairement un de mes jeux préférés auquel je reviens tjrs des années plus tard en redécouvrant des choses que je n'avais encore jamais vu après presque 100h de jeux.

Mention spécial pour son DLC qui est une approche trés maligne des mécaniques de base mais mise dans un autre contexte ou il faut s’échapper avec 4 persos différents d'une station lunaire. Chaque persos a sa spécialité contrairement au jeux de base et il faudra etre malin car les ressources disponibles devront etre partagé entre les persos. Donc si vous embarquer un fusil a pompe avec votre premier perso, il ne sera plus la pour le prochain.

Ce qui donne un vrai puzzle game dont le but ultime est de trouver un moyen de faire évacuer et survivre chaque membre de cet équipage maudit !

Le jeu ne coûte en plus quasi rien, donc c'est sacrilège que de passé a coté ;)

Après 5 heures de jeux, je peux décemment parlé d'une réussite. Resident Evil 4 est de retour, et ca fait plaisir ! Finalement, Capcom revoit sa copie originale et l'agrémente de nouveautés bienvenue. Notamment au niveau de l'exploration et de certaines mécaniques repensé légèrement mais suffisamment pour redonner un gout de neuf a ceux ayant déjà parcourue le titre original. L'action a la part belle, et la grande nouveauté qui est de pouvoir se déplacer en visant est imbriqué avec beaucoup de maitrise. Tout nos ennemies se retrouvent ainsi plus vif et agressif que jamais ! Mention spécial : je joue en Hardcore, étant le mode conseillé pour ceux qui ont déja fini le premier jeu. Je dois dire que la difficulté est au rendez vous, meme si celle ci peut etre assez mal dosé parfois pour rendre le tout plus difficile qu'il ne l'est vraiment. Comme le fait de rendre nos ennemies bcp plus résistants y compris aux headshots et autres effets que pourrait causer une bonne balle dans le genoux.Cela rend les premier affrontement un peu laborieux et beaucoup moins dynamique. Vu qu'il faudra des fois 3 headshots pour qu'un ennemie puisse titubé. Meme si ça renforce notre sentiment d'oppression, cela rend certaines séquences assez hasardeuses quand au comportement de l'ennemie. Et si quelques bémols sont a souligné comme l'éclairage du visage de notre héros in game, ou des animations de morts en phase de test (se faire crever les yeux n'a jamais semblé si reposant).On lui pardonne bien sur ses quelques a coté et on repars avec le sourire tant le titre est généreux et c'est se renouveler !Encore aujourd'hui, il est le meilleur jeux d'actions des 20 dernieres années, et ce remake est la pour nous le rappeler.Vamos a las plagas Senorita !