J'ai pas essayé beaucoup de drogues mais Forza Horizon c'est dans mon top 3. Depuis le 3e opus j'y plonge comme un sale gosse. La recette reste grosso modo la même à chaque épisode : une map ouverte immense et variée où sont disséminées des courses tout aussi diverses et adaptées à tous les goûts et toutes les humeurs. Outre la tétrachiée de voitures dispo - évidemment customisables selon l'envie et le terrain choisi - l'élément psychoactif de Forza Horizon c'est la façon qu'il a de récompenser le joueur pour le moindre truc qu'il réalise.

Rouler à travers champs en cassant tout sur son passage, sauter, doubler, drifter, prendre des photos, exploser les radars ; tout ceci vous rapportera de l'XP, de l'argent et des voitures. En ce sens, c'est très difficile de décrocher de ce jeu parce qu'il y a toujours un truc à gratter, un objectif quotidien, hebdo, mensuel à accomplir avec une récompense à la clé.

Toutes les semaines, la sélection du Festival regroupe une série d'épreuves et de défis à accomplir pour gagner des voitures, des items et des crédits, en multi ou en solo, et chaque mois le thème de ces épreuves saisonnière change, donc c'est impossible de pas y revenir au moins une fois par semaine pour rafler tout le bazar.

Bon, faut pas se voiler la face, ça reste un jeu ultra gourmand et optimisé avec le derche, avec des bugs et des crashs qui arrivent trop souvent. On pourrait aussi aborder le principe des Drivatars, l'IA in-game censée mimer le comportement des joueurs : sur le papier c'est stylé, mais en réalité c'est un peu la foire à la saucisse et vous apprendrez vite à redouter leurs freinages soudains en sortie de courbe, leurs dive-bombs et leur insolente vitesse dans les virages les plus serrés.

Le multi est plutôt plaisant avec pas mal d'épreuves différentes et la possibilité de filtrer le type de courses qu'on veut faire et la catégorie de performance. Les tournées Horizon en coop sont un bon moyen de s'éclater tranquille sans la pression habituelle du chacun pour soi, même si la conduite hasardeuse voire agressive des adversaires reste un élément central des jeux de courses en ligne (et donc un bon moyen d'apprendre à rester zen).

Après 650h+ de jeu, et à la veille du nouveau DLC, y'a la place pour que je mette encore autant d'heures dessus sans (trop) broncher. Forza Horizon 5, c'est bien. Mangez-en.

J'ai pas essayé beaucoup de drogues mais Forza Horizon c'est dans mon top 3. Depuis le 3e opus j'y plonge comme un sale gosse. La recette reste grosso modo la même à chaque épisode : une map ouverte immense et variée où sont disséminées des courses tout aussi diverses et adaptées à tous les goûts et toutes les humeurs. Outre la tétrachiée de voitures dispo - évidemment customisables selon l'envie et le terrain choisi - l'élément psychoactif de Forza Horizon c'est la façon qu'il a de récompenser le joueur pour le moindre truc qu'il réalise. Rouler à travers champs en cassant tout sur son passage, sauter, doubler, drifter, prendre des photos, exploser les radars ; tout ceci vous rapportera de l'XP, de l'argent et des voitures. En ce sens, c'est très difficile de décrocher de ce jeu parce qu'il y a toujours un truc à gratter, un objectif quotidien, hebdo, mensuel à accomplir avec une récompense à la clé. Toutes les semaines, la sélection du Festival regroupe une série d'épreuves et de défis à accomplir pour gagner des voitures, des items et des crédits, en multi ou en solo, et chaque mois le thème de ces épreuves saisonnière change, donc c'est impossible de pas y revenir au moins une fois par semaine pour rafler tout le bazar. Bon, faut pas se voiler la face, ça reste un jeu ultra gourmand et optimisé avec le derche, avec des bugs et des crashs qui arrivent trop souvent. On pourrait aussi aborder le principe des Drivatars, l'IA in-game censée mimer le comportement des joueurs : sur le papier c'est stylé, mais en réalité c'est un peu la foire à la saucisse et vous apprendrez vite à redouter leurs freinages soudains en sortie de courbe, leurs dive-bombs et leur insolente vitesse dans les virages les plus serrés. Le multi est plutôt plaisant avec pas mal d'épreuves différentes et la possibilité de filtrer le type de courses qu'on veut faire et la catégorie de performance. Les tournées Horizon en coop sont un bon moyen de s'éclater tranquille sans la pression habituelle du chacun pour soi, même si la conduite hasardeuse voire agressive des adversaires reste un élément central des jeux de courses en ligne (et donc un bon moyen d'apprendre à rester zen). Après 650h+ de jeu, et à la veille du nouveau DLC, y'a la place pour que je mette encore autant d'heures dessus sans (trop) broncher. Forza Horizon 5, c'est bien. Mangez-en.