:aac Voot est un mathématicien Philosophe ayant commencé sa conjecture des lettres après s'être pris une pomme sur la tête, une pomme tombée d'un cèdre, autrement dit d'un biangle de Voot ou d'une intégrale, il avait en fait lui même mis la pomme dans l'arbre en remontant dans le temps pour que son lui du passé ait l'idée d'établir sa conjecture
Il s'agit d'une manière de faire le calcul ne faisant pas sens puisqu'il cherche par là à montrer l'absurdité des maths, vu qu'on manque de précision sur les axiomes, comme dirait notre cher Gödel, ça fait que nos maths pourraient totalement être fausses depuis le début, un fait mettant en avant leur absurdité, il en revient à dire que la conjecture de Voot fait techniquement autant de sens que nos maths modernes... Même en prenant en compte le fait qu'il ait justifié sa conjecture en justifiant sa propre existence, cela fait aussi peu de sens que nos maths modernes et cette propriété se conservera toujours

Selon cette conjecture on peut donc établir que (a-b)/(a+b) = (mons/e)-
Pour la simple et bonne raison que :aac Voot procédait essentiellement en "enlevant un truc d'un côté et donc de l'autre" aussi bien avec de la division que de l'addition, un procédé qui peut aussi avoir lieu graphiquement (1 est une barre, si une expression est égale à 1, alors on s'accorde le droit d'enlever une barre au égal...)
(a-b)/(a+b)=-b/b (on enlève les a de la division même si ils sont additionnés, on ne tient compte de leur présence que graphiquement)
Ainsi -b/b=-1/1
Et-1/1=- parce qu'on continue à enlever en haut et en bas
ie=moins (ide est)
e=mons (bien que le ie servait à la base de vocabulaire en dehors de l'équation, le ie=moins ressemble graphiquement à une équation donc c'en est une si in le veut)
1=mons/e (on n'a pas de e à droite donc on le divise de façon conventionnelle pour l'enlever)
Donc mons/e=1
Donc mons/e- puisqu'on enlève la barre du égal en enlevant le 1 qui est lui même une barre)
En conclusion (a-b)/(a+b)=(mons/e)-