Recente recensies door Cynass

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Revelations 2 est un titre bien plus abouti et sympathique que le premier Revelations.

Si, techniquement, le jeu est loin des standards de 2015, il dispose d'un gameplay plutôt sympathique qui se rapproche vaguement d'un mixte entre Resident Evil 5 et Resident Evil 6. Des esquives, des finish en QTE (sans trop en faire), de la demande de précision et de la rigueur pour économiser les munitions même si le jeu est quand même assez généreux.
Le truc sympa aussi c'est qu'on peut jouer avec des pièges de différentes manières. Un exemple typique : des ennemis qui explosent ? On s'en sert pour faire un carnage façon bidon explosifs (qui sont présents aussi...).

On retrouve du challenge et l'aspect découpage d'épisode est ici mieux géré que dans le premier Revelations. Pour autant, ça reste toujours assez artificiel et peu pertinent si vous n'y joué pas en nomade sur la VITA qui fut le support cible.

Le scénario est ici bien plus intéressant et tout à fait dans la mythologie Resident Evil. Pour le coup, si vous aimez le scénario nanar de la saga, vous en aurez pour votre argent. Un seul mot : Wesker.

Le bestiaire ici est, contrairement à Revelations 1, un véritable bonheur. Il s'agit d'un véritable micmac des différents ennemis de la saga avec, par exemple, le retour de nos bons vieux zombies.

Bref, s'il ne réinvente pas la roue, Revelation 2 est un titre très sympathique et que je conseil d'autant plus si vous êtes en manque de TPS.

Vraiment excellent ! Ce mix de retour aux sources et de concept rafraîchi est dosé d'une main de maître.

Côté retour aux sources, cela ne concerne pas que la peur, clairement présente : quelques puzzles, bien que moins poussés que ceux des premiers RE, font leur retour. La gestion de l'inventaire est elle aussi là, sans être pénible comme dans RE0. Concernant les munitions, j'émets un doute d'équilibrage (en mode normal) : le début ou chaque moment où on repart avec l'inventaire vide mettent une grosse pression sur les stocks et donc sur le joueur que nous sommes. Mais avec une gestion correcte de l'armement, on a rapidement des quantités absurdes de munitions disponibles, et donc plus franchement peur. En ce qui me concerne, j'ai fini avec 250 balles de mitrailleuse, 20 cartouches de pompe, 10 bombes télécommandées, 60 balles de pistolet et 20 améliorées... et encore, j'avais quelques psychostimulants en poche pour dénicher quelques bonus au besoin. Je referai le jeu en mode survie pour voir si la tension est là sur les munitions, mais j'ai trouvé le jeu trop généreux pour le coup, même pour la dernière ligne droite un peu "action" qui reste appréciable.

J'trouve que RE a bien su se renouveler : le passage en vue 1ere personne, l'environnement différent avec malgré tout ces clins d'oeils (la ferme qui rappelle parfois le manoir, le bateau comme dans RER1 et RE5, mais en mieux...). Il y a un vent de fraîcheur en même temps qu'un vent de nostalgie et je trouve que c'est l'un des points très forts de ce RE7. Le début du jeu est vraiment angoissant, les apparitions de Jack sont très tendues (sa première est même un peu relou, quand on doit se faufiler dans la trappe) et l'idée de faire des affrontements indépendants des armes (les deux premiers contre Jack) est très bonne : ça évite de gâcher plein de munitions pour un boss, et ça évite aussi qu'un surplus de munitions ne rende le boss ridicule (à l'instar du boss final me concernant). Dommage que ce concept ne soit vraiment exploité qu'au début. Le jeu en général donne l'impression que sa première moitié est plus aboutie que sa seconde, en règle générale. Les cassettes vidéos dont on devient l'acteur sont une belle trouvaille, aussi.

Enfin, les personnages sont pas mal, les dialogues ont largement progressé depuis ceux ridicules de ce bon nanar qu'est RE6. La famille Baker, franchement cinglée, est très bien rendue. La trame de fond reste classique mais amène son lot de surprises, j'ai apprécié. Et le fait de changer ponctuellement de personnage et de situation réinitialise parfois l'inventaire et génère un fort retour d'angoisse et de tension : le meilleur exemple est clairement le bateau, où l'ambiance est oppressante (surtout au 1F !) alors que juste avant, on dézinguait tout à grands coups de fusil à pompe avec ce bon Ethan.

Bref, pour résumer, un excellent RE qui reprend ce qu'il y a de bon dans les premiers RE.
Je recommande chaudement !

J'ai commencé la trilogie des Bioshocks sur les conseils d'un ami il y a à peine 3 mois

Le 1 était vraiment bien, le gameplay était cool, et l'histoire prenante, les décors vraiment beaux pour un jeu de l'époque.
Le 2 m'a moins accroché, tout ce qui faisait le charme du gameplay du 1 a sauté, et le fait de se retrouver avec un fusil de piratage non létal au milieu de ses armes, c'est un peu chelou, sans parler du fait que les plasmides sont en tandems des armes, du coup le switch d'armes interfère avec celui des plasmides, et les combats deviennent chaotiques.
J'ai néanmoins apprécier le fait de jouer du point de vue d'un Monsieur P !! Qu'il est gentil Monsieur P, mais violent, mais gentil, mais violent... Un peu susceptible peut être

Puis j'ai fais une petite pause d'une semaine, avant d'attaquer Infinite Un pote m'a prévenu qu'il y avait des délires dimensionnels/temporels, je me suis donc demandé comment ils faisaient dans Star Trek pour gérer ces choses, après des heures de training mental, je me suis jeté dedans.
Et là, une claque !
Déjà le gameplay est vraiment génial, même ressentit que pour le 1
Mais aussi les personnages, Dewitt et Elisabeth sont vraiment bien écrits et très attachants, les interactions en combats des deux protagonistes sont super bien pensées et emmène une touche d'humanité qu'on attend forcément dans un jeu "Story Rich".

Mais ensuite l'histoire, mais l'histoire, sublime, superbe, géniale... J'ai plus assez de superlatifs
Ca faisait longtemps que je m'étais pas aussi engagé dans un jeu solo, mais tout m'a transporté, et le lien qui se crée au fur et à mesure des missions est vraiment génial pour le gameplay

Comme tout jeux avec des embrouilles temporelles, le début peu sembler flou et beaucoup de jeux utilisant ces choses se cassent la gueule ensuite dans l'explications, mais Infinite le fait merveilleusement bien, et le must, c'est le DLC "Burial at sea" qui lie Infinite à Rapture, la boucle est bouclée.


Très certainement une des meilleures histoire dans un JV
A jouer sans hésistation ! (En ayant fait les autres).

Quel final ! La suite digne de blood money !

Beaucoup de gens pensent que ce jeu est trop fermé et pas assez permissif en comparaison aux autres hitman mais en fait c'est juste les sauvegardes sous forme de chekpoints qui ruinent l'expérimentation. Parce que sinon il y a des niveaux très permissifs.

Pour ce qui est du gameplay, hitman ne se réinvente pas : les actions sont les mêmes que dans les précédents jeu, toujours aussi complet, il y a juste une nouveauté vraiment sympa : le lancé d'objets. Et c'est vraiment la classe de planter un couteau dans la nuque de sa cible ! on peut aussi s'en servir pour faire diversion et pour attirer les ennemis dans notre piège ! Ajoutez à cela une nouvelle interface vraiment bien conçu et très claire.
Le seul défaut de gameplay c'est les quelques niveaux un peut trop "couloir" mais il y a tellement de missions que dans le lot il y a pleins de bonnes vieilles missions d'assassinats comme on les aimes !
On regrettera aussi les musiques des précédents jeux car cette fois il n'y a plus les thèmes de Jeysper Kyd.

Il faut savoir que ce hitman est plus axé sur la narration et l'histoire et ça ajoute un petit plus à l'agent 47, le rendant plus expressif et charismatique que jamais, toujous incarné par l'acteur David Patison.

Au niveau des graphismes, beaucoup trouvent que le portage console est raté mais perso je trouve ce hitman très bien optimisé, en plus le nouveau moteur graphique fait le café... que demander de plus ?

Wolfenstein the Old Blood est bien plus qu'une simple extension, c'est un stand alone pour le moins conséquent. Si on s'en réfère au nombre de chapitres, il correspond à la moitié de la durée de vie de The New Order dont il est le préquel, sachant que certains chapitres sont assez vastes (bien que très inégaux). Les évènements en effet se passent juste avant le début de The New Order, et on retrouve ainsi le même moteur graphique, mais doté d'optimisations de qualité : plus de détails, plus joli, plus propre... évidemment, une configuration plus gourmande.

Rien n'a été omis au niveau du contenu... une bien belle réussite graphique donc, mais on retrouve également toujours de belles cinématiques servant de transition entre les différents chapitres, un Blazkowicz qui fait toujours plaisir à retrouver, et de nombreux collectibles à récupérer. Il existe également dans chaque chapitre une couchette secrète qui permet de débloquer les niveaux du vieux (très vieux) Wolfenstein 3D (le même concept que dans Doom de 2016 en fait), ce que je trouve plutôt sympa. Un peu de nostalgie avec d'horribles amas de pixels ne fait jamais de mal :)

Les chapitres sont relativement variés, l'ambiance l'est également et s'assombrit progressivement pour tourner à une sorte de petite Apocalypse. Le scénario tourne autour d'un unique objectif principal, et l'avancée est tout à fait bien menée. On a toujours le droit, à l'image de The New Order, à des passages assez marquants, et des personnages avec une personnalité bien prononcée.
En sus, on peut trouver quelques petites nouveautés fort sympathiques, comme l'utilisation du tuyau détachable en deux parties permettant entre autres quelques escalades murales.
On a également le droit à des défis supplémentaires déblocables au fur et à mesure de la progression du jeu, permettant de mesurer notre score en ligne.

En ce qui concerne l'IA, un des points que je reprochais un peu dans The New Order, on va dire qu'elle semble avoir été très légèrement revue (sans être pour autant folichonne), surtout par rapport au fait que lorsque des ennemis retrouvent leurs camarades étendus à terre, ça ne leur semble plus normal comme ça pouvait l'être auparavant, et désormais ils n'hésitent pas à donner l'alerte.

En résumé, j'ai très peu de reproches à faire à ce jeu, je l'ai trouvé appliqué de long en large. À recommander sans détour !

Cela faisait un moment que je voulais essayer Wolfenstein. Je n'avais jamais essayé un épisode de cette série.

Bon honnêtement quand on regarde tous les trailers on a un peu fait le tour du jeu! Les remakes des Beatles en allemand, les camps, Berlin, la lune, les robots. A part ça nous ne sommes pas tellement surpris je m'attendais à une plus grande créativité au niveau de la technologie et des lieux.

Le début est assez alléchant, on voit les prototypes d'ailes volantes allemandes en action, face aux bombardiers classiques américains. Et là on se retrouve avec des araignées robot géantes et des soldats alimentés par des batteries dans le dos?!?

Pour le coté histoire et avancée technologique c'est fiction à mort on est même pas dans le style rétro futuriste des années 40-50. Le mélange est assez hétérogène en gros. Le scénario part dans beaucoup de direction sans aller nulle part en fait. On commence un mouvement de résistance, une relation, la découverte d'un ordre secret, et en fait sans spolier la fin du jeu on laisse un peu tout inachevé. Une suite?

Sinon il n'y a pas que du négatif, les décors et le gameplay sont assez réussi, les armes et personnages donnent envie de continuer l'histoire malgré un style très couloir et répétitif. J'étais limite pressé de finir j'en avais un peu marre au 3/4 du jeu.

Niveau de difficulté pas vraiment violent, IA très scripté et quelques truc aberrants sur le comportement des ennemis.

Acheté en promo 10$, content de cet achat à ce prix. Je l'aurai acheté dès sa sortie à 60$ j'aurai été un peu dégouté pour 12h de jeu en prenant mon temps!

A essayer sans en attendre des tonnes!

Wolfenstein a toujours été mon péché mignon. Je ne compte plus les heures passées à l'époque sur Return to Castle Wolfenstein qui ne possédait pas encore totalement ce côté décalé apparu avec le reboot et The New Order.

Machine Games a décidé d'y aller de façon totalement décomplexée. On fait un jeu de Nazis, alors il y aura des Nazis. Des Nazis de base, des Nazis robots, des chiens Nazis, et de la Nazi bien enrobée. Quitte à pousser le bouchon, ajoutons même le Ku Klux Klan et Hitler.

Le décor est planté et, vu de l'extérieur, on pourrait se dire que le jeu est une véritable ode au 3ème Reich tant il y a de croix gammées au mètre carré. Pourtant, la véritable star du jeu n'est autre que Blasko le barjo, sorte de Bruce Willis sous stéroïdes accompagné de sa joyeuse bande de communistes hippies déjantés.

Car le propos de The New Colossus est avant tout de se défouler en proposant une aventure qui ne se prend jamais au sérieux. Et dès les premières minutes, on comprend que les Nazis n'auront pas le beau rôle, laissant s'effondrer toute tentative de polémique.

Le jeu se vit comme un véritable parcours de montagnes russes: quelques moments de calme, symbolisés par de la pseudo-infiltration, serviront de rampe de lancement à des phases de shoot menées à un rythme effréné. Très proche du fast FPS, ce Wolfenstein se veut jouissif, avec un arsenal, bien que convenu, diablement efficace. Outre le classique shotgun et assault rifle, nous aurons à disposition un lance-grenades, un fusil de "précision", un lanceur de rayon laser et l'indispensable lance-flammes. Chacune de ces armes pourra être améliorée, avec quelquefois une deuxième fonction activable.

Comme l'amour c'est toujours mieux à deux, vous pourrez prendre une arme dans chaque main pour encore plus de puissance et de destruction.

Vers le milieu de l'aventure et après un événement aussi inattendu que WTF, Blasko disposera même de nouvelles fonctionnalités liées à son exosquelette. Si ça ne changera pas fondamentalement le gameplay, ça aura le mérite de varier les plaisirs dans la pulvérisation des ennemis.

Les bases du gameplay sont posées. En résumé, on est face à du classique, mais diablement efficace. Le seul reproche que je puisse faire à ce stade est la relative répétitivité des situations, avec toujours plus ou moins le même schéma: passage par des décombres, arrivée dans un lieu ouvert avec deux chefs faisant office d'alarmes qu'il faudra éviter de déclencher, gang bang de sang puis cinématique.

Heureusement, le level design est à la hauteur, avec pas mal de verticalité. Seul le premier passage dans New York m'a un peu ennuyé, mais le reste est très bon (mentions spéciales à la Nouvelle-Orléans et au sous-marin).

Là où The New Colossus assure un max, c'est sur sa narration. Bethesda nous livre un jeu solo à l'ancienne, sans fioritures, sans lootbox ou autres conneries communautaires. Nous avons une histoire complète et généreuse, d'une quinzaine d'heures, avec un soin de la mise en scène de tous les instants.

Difficile de parler du scénario sans spoiler, mais j'ai été happé par l'aventure du début à la fin, certaines scènes réussissant à me décrocher la mâchoire, à l'image de . Même la doute dernière scène, minimaliste en terme de gameplay, sonne juste, évitant l’écueil du bossfight final classique dans lequel il faut vider tous ses chargeurs.

Bémol toutefois pour l'un des derniers affrontement en arène en plein air, trop long et trop répétitif avec des ennemis spawnant de partout. Mais ça permet aussi d'assister ensuite à l'une des scènes les plus WTF du jeu:

Puisque il faut citer encore un passage marquant, j'ajouterai tout le passage

Vous l'aurez compris, j'ai dévoré ce New Colossus que je ne peux que recommander. Du vrai bon travail de passionnés de jeu vidéo, qui ont saisi l'essence de ce que doit être le plaisir ludique tout en n'oubliant pas de proposer une narration au top. C'est d'ailleurs cette narration qui donne l'identité au jeu.

Vous vous devez de soutenir Bethesda qui est l'un des rares gros éditeurs à encore proposer du vrai jeu vidéo, sans map ouverte OSEF, sans politique de microtransactions flirtant avec le racket et avec un profond respect des codes du jeu solo.

Si vous le trouvez en promo, achetez-en deux pour offrir à un pote.

Les + :

- Ecriture excellente

- Quelques scènes cultes

- Bonne durée de vie: ni trop court ni trop long

- Pas moralisateur

- Des personnages travaillés, y compris les secondaires

- Feeling armes en main

- Ambiance sonore

- Totalement décomplexé

- Un vrai jeu fini et complet

- La VF plus que correcte

Les - :

- Léger souci d'optimisation: obligé de le passer en fenêtré sans bordures pour ne pas le faire planter lors d'un alt-tab ou en utilisant un overlay

- Une certaine répétitivité dans les situations

- Manque de folie et de variété dans les armes

- Quelques soucis d'orientation par moments avec une map pas hyper claire

Qu'est-ce que Bioshock ?

Ma première rencontre avec BioShock reste l'un des meilleurs souvenirs vidéo-ludiques. Cette ville utopique au fin fond de l'océan en mettait plein les yeux. Si ce remastered a remis quelques textures à jours, il ne faut guère s'attendre à une refonte complète et beaucoup de ce qui faisait le charme de Rapture à pris un peu d'âge (effet de bulles à l'extérieur, la gestion des fluides,...)

Mais l'ambiance est toujours là, Rapture en impose en terme de design. Le fait de trouver des journaux audio qui nous content quelques moments de personnages que nous recontrons généralement en cadavres renforce notre sentiment de mal à l'aise sur ce qui devait être un havre de paix... mais l'homme n'est rien d'autre qu'un animal...

L'histoire tire à boulet rouge sur les expérimentation sur les être humains pour le profit à tout prix, le paradoxe de l'Homme qui devait vivre de son travail mais qui au final travaille pour vivre et d'autres thématiques vraiment intéressantes.

SI le gameplay a quelque peu vieillit, il reste néanmoins excellent et offre entre les différentes armes et plasmides proposées, des possibilités afin de pouvoir mieux nous concentrer sur la partie bagarre ou la partie piratage ou bien un mixte entre les deux. Je ne ferais sur le piratage qu'un petit bémol (celui de la lourdeur, au bout du 15ème appareil piraté on s'ennui un peu... beaucoup? assurément).

Sur le plan technique, j'ai eu droit à 6 plantages et une mission bugé (la mission où l'on accompagne une petite soeur pendant un parcourt et qui ne bougeait plus après atteint le deuxième point) qu'il a fallut que je relance depuis le début pour y arriver.
Pour les plantages, désactiver l'antivirus peut résoudre le problème sauf si celui ci se relance en arrière plan ou relancer le jeux et espérer qu'il ne plante plus...

Mais que cela ne vous empêche pas d'essayer ce FPS, car non seulement il reste un très bon jeu de tir à la première personne mais en plus, et ce n'est pas coutume, il vous invite à réfléchir sur bien des aspects moraux de nos sociétés modernes avec une très bonne narration...

Quelle claque ce remake !

Les graphismes sous RE Engine sont époustouflants, une mention spéciale au effet de lumière criant de réalisme, on se sent vraiment plongé dans la peau du personnage. Le tout est parfaitement optimisé sur PC. Seul quelques rares animations faciales à certains moments ne paraissent pas très réaliste mais ce n'est pas gênant en soit.

Pour ce qui est du gameplay c'est du Resident Evil à l'ancienne, les caméras fixes en moins. Je ne vais pas vous parler de l'histoire pour ne pas vous la spoiler mais elle reste fidèle à l'originale tout en innovant à sa manière pour ceux ayant fait tout comme moi le jeu de 1998.

Bref, je recommande chaudement ce jeu si vous aimez les survival-horror à l'ancienne.