Instalar o Steam
Iniciar sessão
|
Idioma
简体中文 (Chinês Simplificado)
繁體中文 (Chinês Tradicional)
日本語 (Japonês)
한국어 (Coreano)
ไทย (Tailandês)
Български (Búlgaro)
Čeština (Checo)
Dansk (Dinamarquês)
Deutsch (Alemão)
English (Inglês)
Español-España (Espanhol de Espanha)
Español-Latinoamérica (Espanhol da América Latina)
Ελληνικά (Grego)
Français (Francês)
Italiano (Italiano)
Bahasa Indonesia (Indonésio)
Magyar (Húngaro)
Nederlands (Holandês)
Norsk (Norueguês)
Polski (Polaco)
Português (Brasil)
Română (Romeno)
Русский (Russo)
Suomi (Finlandês)
Svenska (Sueco)
Türkçe (Turco)
Tiếng Việt (Vietnamita)
Українська (Ucraniano)
Relatar problema de tradução
nous arriver encore.
Je reste là je reste.
Il pleut sans pleuvoir
comme quand de l’ombre
nous renvoie corps.
Je reste là je reste.
Moi là, en face mon coeur
et plus loin
ma relation fatiguée avec lui.
Comme ça, histoire de faire nombre
chaque fois que le vide nous compte.
Chambre vide venteuse.
Je m’accroche bien fort
à ma façon d’être balayée.
Pas de nouvelles de toi.
Ta photo, stationnaire.
Ton regard comme si tu arrivais,
ton sourire, non.
Des fleurs sèches à côté
te répètent sans cesse
leur vrai nom immortelles
immortelles - pour si jamais tu oubliais
ce que tu n’es pas.