Évaluations récentes de La Légion d'Akira

Tout l’intérêt du jeu réside dans son délicieux, mais non moins exigeant, mode « survivaliste » qui propose une véritable expérience de survie en milieu hostile dans toute sa cruauté. Le mode « partie sans fin » est propice à la performance et peut se révéler plus instructif sur les mécanismes de gameplay que son homologue sus-cité car il exigera de vous une attention de tous les instants. Jusqu’où irez-vous ? Combien de miles parcourrez-vous avant de casser votre pipe, sachant que de toute façon vous partez à l’aventure avec un pied dans la tombe ? La direction artistique est majestueuse et vous plongera dans une ambiance travaillée. Pour conclure, le véritable « héro », celui qui ne meurt jamais, celui qui vous accompagne et vous guide de ses aboiements est et reste le chien… comme une sorte de passeur, le museau au vent sur un radeau à la destination inconnue.

Chers confrères épileptiques, ce jeu est fait pour nous. Original et plutôt difficile, autant dans sa compréhension que dans son gameplay, ce dual stick shooter qui ne fait rien comme les autres mais qui possède un bon rythme, reste agréable à jouer tant que vous avez pris votre traitement.

Le paroxysme de l’ultra-violence.

Olive et Tom ont passé leur permis B et c’est tout simplement dramatique.

Ce jeu il est un peu comme moi : physiquement c’est plus de première jeunesse, mais mon dieu quelle expérience ! Surtout sous le capot… Trêve de plaisanterie, si vous recherchez de très bonnes sensations de conduite, mon numéro est inscrit sur le pare-choc.

Un roman visuel qui a le mérite d’être tout à la fois original et captivant. Regroupant les deux versions d’une même histoire, la lecture reste agréable grâce à une ambiance sonore bien pensée. Le scénario original a beaucoup de charme tandis que sa version retravaillée fait preuve d’une grande richesse. Dans les deux cas, la jeunesse des protagonistes contraste curieusement avec la maturité de l’histoire sans pour autant lui porter préjudice. Il y a ici beaucoup d’idées aussi intéressantes qu’improbables et c’est sans doute ce qui fait toute la substance du récit.

Puisant discrètement son essence dans l’œuvre majeure de Lewis Carroll, ce court roman visuel donne la part belle, lorsque l’on y regarde de plus près, à une confession intime et très personnelle. Raconté sur des thèmes musicaux bien choisis, l’histoire, parfois maladroite sur certains points de compréhension, se laisse suivre. Même si l’ensemble de la trame reste cohérente, une présentation un peu plus poussé des protagonistes aurait été, selon moi, bienvenue. Ode à la tolérance, « Les Quatres Alices » invite le lecteur à entrevoir les difficultés endurées par une minorité silencieuse.

Je suis allé couper du petit bois et je me suis pris une branche sur le caillou... Concentration et sang-froid pour un jeu très sympa en multijoueurs, un peu moins seul. L'unique musique devient agaçante à la longue.

Un pedigree d’exception pour un gameplay aussi addictif qu’un sac de croquette Royal Canin…

Un jour béni des Dieux, ces molosses que sont les carlins domineront le monde.