Il est peut-être le plus petit du groupe de héros, mais Bardin Goreksson compense certainement par sa férocité, sa détermination et son esprit. Grégaire, orgueilleux et n'ayant pas peur d'offenser, Bardin est souvent vu charger au cœur de la bataille, hache ou marteau en plein essor et laissant une traînée de cadavres de Skavens derrière lui. Une fois la victoire assurée, il sera le premier à rentrer au pub, rugissant et riant à tue-tête d'une manière dont seul un nain est capable

Bardin est arrivé à Ubersreik dans le cadre de son voyage pour découvrir la Cité perdue de Karak Zorn.

Après les événements de Vermintide, Bardin continue d'accompagner le reste des héros tout en recherchant toujours la forteresse naine perdue.


Bardin Goreksson s'est présenté au monde comme une avalanche imparable sur le champ de bataille, un ouragan à l'auberge et un ami fidèle près du feu de camp. Rempart de camaraderie et de bonne humeur, Bardin est devenu le ciment de notre improbable bande de héros.

Poussé par sa recherche de la Cité naine perdue de Karak Zorn, Bardin a été quelque peu distrait par l'ingérence incessante des Skavens. Pourtant, il reste fidèle à son esprit, menant le bon combat comme un héros dont les actes font la fierté de ses ancêtres !



Bardin est un Rôdeur des Montagnes Grises, gardant les cales de Karak Ziflin et Karak Norn à l'abri des attaques terrestres. Les Rangers errent partout, toujours à l'affût de l'activité ennemie. C'est lors d'une de ces expéditions que Bardin est tombé sur une entrée de mine abandonnée. La mine était clairement d'origine naine mais, ayant passé d'innombrables décennies à parcourir les Montagnes Grises, ce n'était pas une mine que Bardin connaissait. L'entrée de la mine devait être cachée jusqu'à récemment, peut-être révélée par un éboulement rocheux.

Sans réfléchir, Goreksson entra, ne s'arrêtant que pour sortir sa fidèle hache. La mine elle-même était à peu près comme il s'y attendait – épuisée depuis longtemps de tout minerai précieux. Plus loin, le Ranger tomba sur quelque chose d'intéressant, quatre corps de Nains vêtus de haillons maintenant pourris, mais des haillons qui auraient pu suggérer qu'un long voyage était imminent. À côté des corps des nains se trouvaient un monticule de rats morts depuis longtemps et le cadavre indubitable d'un homme-rat. Dans ses mains griffues et squelettiques se trouvait un petit morceau de parchemin en lambeaux, les lettres naines du Klinkarhun inscrites dessus.

Dans le sac à dos de l'un des morts nains se trouvait un autre morceau déchiré du même parchemin. Bardin a assemblé les pièces et a découvert, dans son cœur qui s'accélérait, qu'il avait une ancienne carte. Ce qui l'excitait tant, c'était la destination de la carte, celle de Karak Zorn - la tristement célèbre prise perdue des nains qui se cachait quelque part le long des montagnes du Bord du Monde dans les Terres du Sud. La carte était cependant d'une utilité limitée, car la moitié des clés de la carte et du langage de l'énigme se trouvaient dans une variante inconnue de Klinkarhun.

À son retour, Bardin a fait plusieurs tentatives pour trouver des fonds et le soutien du clan pour une partie d'exploration, mais a découvert qu'il avait été refusé, ri et méprisé de toutes les forteresses des Montagnes Grises, un fait humiliant qui n'a fait que renforcer sa résolution en la matière.

Il se rendit maintenant à Ubersreik, car la nouvelle lui était parvenue de la grande communauté naine là-bas. On disait qu'une boutique d'antiquités en bordure de la place du marché tenait un gros tome nain. Selon le forgeron à qui il a payé de l'or nain honnête, la page du livre est couverte de runes fanées écrites dans une version longtemps désaffectée du Klinkarhun, et pourrait très bien être la clé pour comprendre la carte de la cale perdue. Le Ranger était en route pour acheter ce tome, après avoir négocié un juste prix. Bien sûr, ce que Bardin considère comme un prix équitable peut être très différent pour le commerçant, mais les talents de négociateur du Nain – criant très fort jusqu'à ce qu'il obtienne ce qu'il veut – sont formidables.