Recent reviews by pheukiou

(aucun spoiler qu'on ne découvre tôt)

Il sent l'écologie, les saisons de no-kill,
il adoucit l'agy en balades bien tranquilles...
ce petit jeu d'ovni qui s'empare de vos vaches
où l'alien est soumis aux caprices d'une cravache.

Accessibles à toutes têtes, ses mots n'ont rien d'altier
et ses rimes imparfaites se pardonnent volontiers
car il est bien joli, car le fil de sa fable
sent bon la nostalgie et les paix impalpables.

Ici, rien de martial : on s'égaie des vitraux.
Dans ce vaisseau spatial, on ne s'égare pas trop -
beffroi d'or et de cuivre aux passions bien civiles.

Ce petit jeu, monté avec une main affable,
peut vous faire regretter les saisons non coupables
où l'on pouvait bien vivre loin de l'ombre des villes.

Petit jeu de pousse-caisse facile et niveau enfant.

Pas grand chose de plus à en dire, il y a peu de choses qui sortent de l'ordinaire.

Petit jeu de puzzle/pousse-caisse à portée des plus jeunes.

C'est un petit délire pour les petits sans être fabuleux (deux heures de jeu) :
- des petites phases d'actions rythmées
- d'enclenchements ou de désenclenchements de boutons (ce qui poousse le joueur à étudier les effets en on et en off pour décider quand l'activer ou l'teindre)

Le jeu comporte trente tableaux. On peut porter qu'un objet à la fois (les clefs) et le but étant de récolter tous les vristaux du niveau.

La seule difficulté concrète pour un enfant étant qu'un mauvais déplacement de caisse peut condamner la partie.


Le jeu étant d'une sipmplicité si enfantine que je ne peut malheureusement pas le noter correctement, des tableaux plus nombreux et plus de challenge en aurait fait un bon petit jeu sur lequel passer plus de deux heures de son temps.

support manette zéro pour ma part....

Non, ce jeu n'a rien de difficile... la réelle difficulté vient du fait que les sauvegardes de ce jeu ne se trouvent pas dans le dossier du dit jeu et qu'elles se renouvellent à chaque clic.

Et ça, même en niveau "casual" (décontracté, tranquille) où on devrait justement pouvoir jouer détendu, comme CASUAL laisse supposer... mais non !

Du coup, au moindre faux pas, faut TOUT recommencer. Absolument TOUT ou voir son perso castré de la moitié de ses statistiques et du parcours déjà établi.

J'adore ces jeux qui se la jouent à la dure juste parce qu'on peut pas sauvergarder soi même ni revenir un poil en arrière après une erreur de jugement, mauvaise manip, ou pure déveine !
Caprices de programmateurs infoutus de créer une réelle difficulté dans leurs jeux et qui choisissent d'opérer avec des méthode de merde, pour pas dire plus grossier, censées élever le niveau !

Pour ceux qui veulent pas recommencer 500 fois le jeu, voici le chemin des sauvegardes :
C:\Users\"votre nom de profil"\AppData\Roaming\com.clewcat.DungeonUp\

Copier coller à chaque fois que vous n'êtes pas certain de réussir une étape à venir.





Ma partie a été coupée une fois de trop à cause d'une programmation de merde.
Marre des jeux comme ça, pousse rouge.

Un jeu de course aérienne représentant un monde futuriste dans les modes et styles esthétique des vieux films des années 70-80.

Le jeu est assez difficile, l'écran de petite taille et la largeur des pixels ne laisse pas à la résolution les moyens d'un grand écran sur lequel on puis cerner autant de détail que dans d'autres jeux.

C'est donc aussi pour cette raison que la vitesse de course est plus raisonnable que sur les jeux modernes... soyez pas mauvaises langues, si ce jeu là avait été aussi speed avec la résolution qui est la sien ne : tous ceux qui se plaignaient du graphique auraient pété les plombs en hurlant (à raison) sur l'impossibilité de pouvoir gérer la moindre course.

On peut s'armer de booster, de laser, de mines, de bombes, ramasser des soins, du fric, des accélérateurs ou des malus.
Mais attention, viser juste n'est pas forcément si simple que ça dans l'action.

Les courses sont assez longues, ce qui peut donc pousser ou :

- à une certaine forme d'ennui (ou de plaisir onaniquo-orgueilleux de voir tout le monde loin derrière nous, bien qu'être premier ne nous éviter pas de prendre des pièges déposés par le jeu ou les ennemis)
- à la frustration de se faire doubler, emmerder par des tirs ennemis ou des pièges dispersés par ceux là.

Le jeu se joue en coopération locale, par écran partagé ; les commandes sont à prendre en main (surtout pour ceux qui n'ont jamais fait de jeux de vol en trois dimensions de cette époque).

Jeu de course agressif et aérien rétro très respectable, et surtout... coop local.

On pourrait se dire qu'à force de franchir niveaux après niveaux, la difficulté irait en grandissant jusqu'à ce qu'on galère comme dans un bon jeu de réflexion, au moins d'une petite galère aigre douce... mais non, la simplicité ici est telle que le défit est absent.

Pour le principe du jeu, la vidéo suffit en elle même... si vous regardez le jeu depuis un accès à la connectivité trop laborieuse pour la visionner, alors, j'explique :

Le plateau de jeu est une toile noire sur laquelle sont placé des carrés blancs pour la plupart, ainsi que votre "personnage" lui même un carré pouvant se déplacer en quatre directions (haut, bas, gauche et droite) et dont la course ne peut être stoppé que par collision avec un autre carré.

Le but est d'atteindre un carré en particulier que l'on doit toucher pour passer au niveau suivant.

On aurait donc pu imaginer un défi, mais plusieurs solutions pourront être abordé pour un seul niveau, bien souvent... et ce dernier commentaire ne fait que souligner le premier :

"difficulté ? c'est quoi ? passes moi un dico !"

Ce jeu est inspiré d'une nouvelle littéraire du même titre et de l'auteur "Harlan Ellison."

Etant donné que je connaissais le livre avant le jeu (comment tu te la pète pheukiou, t'as pas honte ?!), je peux bel et bien confirmer un point : ce jeu n'est qu'inspiré de la nouvelle et le scénario ne se retrouve en rien si ce n'est dans l'idée de voir des individus torturés psychologiquement et physiquement par une machine et intelligence devenue maîtresse de notre monde.

Toutefois, si le nom des personnages concernés reste inchangé, leur psychologie est retaillée barbarement au couteau... je n'ai pas réouvert le livre pour soulever les points divergeant de la nouvelle mais Benny et Ellen ne sont plus, pour sûr, du tout les mêmes.

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Attention spoiler :

1 - Benny n'a rien d'un miliaire ni plus d'un être censé, c'est un ancien professeur (j'avoue douter légèrement de mes souvenirs sur ce point mais c'est sûr : ce n'était pas un soldat) transformé en animal sauvage prêt à bouffer littérallement et vivants ses compagnons lorsque la faim le ronge, et... contrairement à ce que certains disent (la fiche wiki y compris... alors là, j'adresse trois gros "???" de stupéfaction... j'ai modifié l'article de la fiche wiki du jeu, d'ailleurs), qui n'a rien d'un ♥♥♥♥... mais bon, dans le jeu non plus alors passons. De plus, comme le Ted du jeu, c'est un ancien beau mec qui a bien profité des avantages de son physique passé. Et pour rigoler, je vous donne ce dernier détail moins important, le pantalon de Benny dans le jeu aurait du balloter à cause de son pénis de cheval (non naturel, c'est M.A. qui a fait ça... il est bizarre M.A.).
2 - M.A. oui, et pas A.M., bourdel de bourdel de bourdel ! (j'avais un pote homoncule qui s'appelait comme ça, je suis très content d'écrire son nom après une histoire de pénis de cheval... si tu passes par là, l'ami, tu peux taper mais pas trop fort !).
3 - Ellen, quand à elle, est une femme avide de sexe, dernière liberté de sa condition alors on juge pas mesdames et messieurs ! (surtout avec le dit gay Benny dont elle apprécie la sauvagerie libidineuse) qui profite allégrement d'être la seule femme du groupe pour se dilater les poumons, et pas qu'eux... or, une femme violée n'aurait probablement pas ce type de comportement (encore que la psychoplogie est souvent un poison détonnant de non-sens... genre : on m'a fait ça, peut être ne suis je bonne qu'à ça ? relancer la machine par moi même, au moins je contrôle cette fois ! et bla bla bla...) et je ne me souviens pas non plus qu'elle ai un passé comme ça dans le livre, en fait, j'en suis sûr... mais je ne suis qu'un homme parmis les hommes, je peux me tromper.
4 - Les personnages ont des interactivités, ils se fréquentent, se connaissent, se soutiennent mutuellement... ils ne vivent pas leur cauchemar dans un espace préfabriqué à leur attention. Ils sont le dernier clan humain sur terre quoi.
5 - Je ne crois pas, et c'est là le point dont je doute le plus même si je ne pense vraiment pas me tromper : Ted et Ellen n'ont pas de liaison amoureuse... leur aimité n'atteint pas ce degré, ni dans un sens, ni dans l'autre.
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Dommage, vraiment dommage, car il y avait largement moyen de respecter l'oeuvre originale et ça même s'il ne s'agit pas non plus de l'ouvrage SF du millénaire... je n'ai pas retrouvé les personnages que j'ai découvert dans la nouvelle.

L'auteur aurait donné son aval, apparement, au jeu... il a donc accepté de réviser quelques points sordides pour adoucir le contenu. Dommage, vraiment.
Je n'aurais pas aimé être à sa place : "écoutes bonhomme, on va faire un jeu sur ton histoire mais faut changer ça, et ça, et puis ça, et encore ça si on veut être dans les backs du rayon videogame."
J'imagine sans avoir vérifié que c'est ce qui a du se passer, je ne vois pas d'autre raison pour laquelle un auteur aurait travesti son propre enfant.

j'ai été tenté de relire la nouvelle pour vous soulever tous les points qui tournent le dos à l'oeuvre originale... mais je vous cache pas que j'ai pas que ça à faire ;)




Néanmoins :

Le jeu m'a pourtant plu, malgré ce défaut que ne verront que ceux qui ont lu la nouvelle... il est plutôt joli (rétro), les dialogues sont intéressants et l'histoire totalement modifiée de cet "I have no mouth" n'est pas ridicule dans son insulte à l'oeuvre originale pour autant.

Ce jeu mérite donc selon moi les commentaires positifs dont il fut la cible. Je vous invite à les lire car je me suis surtout axé sur le livre et mon commentaire s'en trouve peut être quelque peu inutile pour le coup... il n'a que la vertu d'évoquer le livre plus en détail.

Un jeu que je conseille aux cyniques, même si les pires d'entre eux (viendez ma bande, ingame, on a tous bouffé le môme du village, pas vrai ?!) auront l'impression de déguster une douce confiture. ;)

Petite mention pour ceux qui ont trouvé l'opus vidéoludesque sombre à se manger les murs dans la gueule... ben vous avez sans doute manqué de drames, les gars, z'êtes bien sensibles.
Oui, je ne suis pas d'accord avec vous, ce jeu n'est pas aussi violent que vous le prétendez.
Y a vraiment que l'épisode nimdok... et allez, Benny aussi juste en dessous, ici, qui décoiffent de façon acceptable. Avec les autres personnages, les bigoudis ne sont pas même assez remués pour choir hors du crâne (notez que j'ai jamais mis de bigoudis, je suis pas une brebis à la con, moi !).

Pour les cyniques avides de sensations qui voudraient lire la nouvelle au vu de mon commentaire qu'on pourrait résumer à un "c'est plus trash et sanguinolent dans le livre" ne se fassent pas non plus une idée trop noire de celui ci : il y a bien pire, le livre ne vous donnera pas de sueurs froides car ce n'est pas à MES yeux le but qui fut souhaité lors de son écriture.
Mais c'est une nouvelle, c'est donc court, et elle vaut la peine d'être parcourue... avec les autres qui l'accompagnent.

On trouve cette nouvelle parmis d'autres dans un livre appelé "Histoires mécaniques" où chaque conte est celui de la domination de la machine sur l'homme.
Et les autres nouvelles du bouquins n'ont rien à envier à celle concernée ici. Si vous avez envie de lire le livre, vous passerez un moment sympa.

PS : d'autres l'ont dit, mais abstenez vous de jouer à la version française si vous le pouvez... je n'avais pas lu les commentaires avant mais on rate un personnage avec la française.
A régler dans les propritétés directement via steam.




Spéciale dédicace à ceux qui ont voulu faire du mal aux mômes du jeu et...

... toutes mes excuses aux brebis.

Jeu clairement pas à chier, en tout cas pas sans explications derrière.

Il s'agit donc d'un jeu de réflexion à la difficulté pas insurmontable, mais tout de même plaisant.

Le but étant d'activer un ou plusieurs boutons poussoirs (et d'éviter pièges et mauvais choix de mouvements) afin d'ouvrir la porte de sortie et d'atteindre le palier suivant vers une nouvelle scène de jeu où il faudra atteindre le même but... enchaînant ainsi les niveaux les uns après les autres à travers plusieurs tableaux (un peu comme dans mario, chaque tableau représente le monde du jeu dans lequel un certains nombre de niveaux devront être traversés... sans possibilité de tracer un chemin personnel dans chacun des tableaux (j'espère m'être bien exprimé).

Le jeu se déroule donc ici de façon tout à fait linéaire.

Les deux personnages (un frère niais et une soeur plus futée) auront des petits dialogues sympathique adapté aux plus petits, et qui ne déplairont pas aux adultes (en tout cas à priori).

Il ne s'agit pas d'un jeu à scénario, de toute façon, l'histoire ici ne sert que le déroulement du jeu... nous jouons deux aventuriers explorant la jungle et le temple qui y est abrité (aïe, aïe, aïe, je ne saurai en dire vraiment plus car j'ai maintenant terminé le jeu et ai oublié le détail de l'histoire pourtant retracée en français).

Mais ne vous inquiétez surtout point : si l'histoire m'est sortie de la caboche, c'est avant tout parce qu'elle ne représente pas en elle même le quart de l'intérêt du jeu qui est de réfléchir un instant à comment terminer chaque niveau traversé.

On active les boutons poussoirs à l'aide de caisse dont le poids les active... quelquefois, c'est le poids d'un des deux personnages qui active le bouton permettant de s'émanciper du niveau actuel par le biais de l'heureuse porte de sortie.

En solo ou en coopération locale.

Graphiquement pas désagréable du tout à regarder, et rétro.

PS : je le répète, hardcore-gamers, ici la difficulté n'a rien d'un cauchemar... même si ce n'est pas non plus un jeu de réflexion et d'éveil pour les moins de six ans. ;)

Un bon petit jeu gratuit, mais limité car les progrès se font laborieusement et que les maps sont toujours (mais alors toujours) les mêmes (et de petite taille de surcroît).

Le jeu se fait donc laborieusement avec la soif de pouvoir up untel ou tel autre des personnages de notre équipe.



Ce jeu possède donc déjà deux défauts... mais la troisième tare de ce dernier (et que je désire relever) est en elle même un...

... très très gros bémol : l'ennemi est effectivement systématiquement arabe. Le racisme ambiant de cette insulte vidéogamesque est lourd si on n'est pas capable d'y faire abstraction (ou encore si on est soit même rebeu... en même temps pourquoi t'es rebeu hein ???).

Note négative pour ce jeu où on aime pas les bicots, et où on ne le sent que trop, trop, trop...

POUBELLE !