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Cyberpunk 2077
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Pour tout ce qui concerne le gameplay, l'univers et question de contenu, il nou renvoie aux saintes écritures de l'ami Laurely qui, en 2018, décochait sans vergogne la note de 20/20.
Particulièrement enthousiaste, le bougre évoquait carrément une "claque absolument divine", une "gifle", une "œuvre d'art", une "dinguerie", une "maîtrise totale", une "richesse inouïe", une "V.O. qui tue", une "B.O. qui tabasse", une "relation Kratos-Atreus qui arrache tout", et même "un chef-d’œuvre parmi les chefs-d’œuvre".
Et... il avait bien raison ! Même en 2022, God of War 2018 reste effectivement un jeu exceptionnel non seulement sur le fond, mais également sur la forme.
Au contraire des consoles la version PC, elle, n'est limitée que par la puissance de la machine qui la fait tourner. Aucun plafond de résolution ou de framerate n'est donc imposé.
Ce premier progrès s'accompagne d'améliorations plus "actives" comme des ombres en plus haute résolution, des reflets plus précis, et des effets d'occlusion ambiante améliorés.
Le résultat est sans appel : Kratos paraît plus détaillé que jamais, et les différentes textures sont efficacement mises en valeur.
Tout cela est particulièrement visible lorsque la caméra se rapproche au plus près de notre musculeux héros, ce qui arrive relativement souvent dans cette aventure en forme de long plan-séquence.

Côté contenu, sachez que God of War ne diffère en rien de la version d'origine.
Vous pourrez donc profiter d'un titre qui devrait vous occuper une quarantaine d'heures si vous désirez tout faire, la moitié si vous faites le jeu en ligne droite.
Notez que si vous découvrez pour la première fois la licence, il est très possible que vous passiez à côté de nombreux clins d'oeil qui donnent énormément de charme et d'épaisseur à la narration du jeu.
Beaucoup de petites phrases, de non-dits ou même des révélations ou des séquences entières ne s'apprécieront pleinement qu'à la lumière des événements précédents.
C'est aussi pourquoi peut-être il sera plus difficile de prendre toute la mesure de l'évolution de la franchise et de ses personnages si vous prenez pour la première fois contact avec cet univers.
Cependant, pas d'inquiétudes, God of War reste un formidable jeu d'action et vous n'aurez aucune peine à saisir les enjeux de cet épisode en particulier.

Concernant le gameplay, sachez que les indécrottables du clavier souris seront tout à fait à leur aise sur le jeu.
Il n'est effectivement pas nécessaire de brancher un pad, le titre est suffisamment bien pensé pour être parfaitement jouable et appréciable sans ça, exception faite de l'inventaire, largement mieux optimisé pour le pad.
Si vous préférez la manette, notez que le titre est compatible avec les Dualshock 4, DualSense et contrôleurs Xbox, qu'il vous suffira de brancher avant de lancer l'application.

Malgré sa nature divine, il tombait sous le sens de s'intéresser au côté humain de Kratos tout comme l'envie de raconter une histoire plus profonde et tout aussi intense à travers la quête de rédemption de Kratos et le voyage initiatique qu'il va entreprendre avec son fils Atreus suite à la mort de sa femme.
Si on pouvait craindre que cet aspect ne soit au final qu'une resucée maladroite de The Last of Us, la façon dont le scénario a été pensé étonne, ce dernier se laissant suivre naturellement même entrecoupé de très nombreux affrontements contre des ogres, trolls et autres créatures légendaires.
Intelligente, la narration oscille à chaque instant entre émotion, brutalité et humour, à travers d’excellents dialogues jouant la plupart du temps sur les réactions enjouées d'Atreus contrastant avec celles plus contenues de Kratos.
Toutefois, ce God of War ne verse jamais dans l'émotion facile (malgré certains passages obligés) et se trouve même une personnalité qui lui sied à merveille.

God of War est bel et bien un épisode tout entier dédié au spartiate et à son fils, à sa nouvelle vie et avoir réussi à le rendre plus humain, malgré sa nature divine, n'était pas mince affaire.
Luttant constamment contre cette rage et cette colère sommeillant en lui (symbolisées par des joutes homériques et violentes à souhait), Kratos cherche cette fois une sorte de rédemption à travers Atreus qu'il tentera de protéger en lui cachant son passé afin de le préserver d'un avenir qui l'a amené à l'homme qu'il est.
Ici aussi, tout a du sens et on remarquera à ce sujet que les réactions de l'enfant restent crédibles, aussi bien dans ses accès de joie que de colère ou sa propension à tenir tête à son père et même à le chatouiller sur sa nature solitaire.
C'est d'ailleurs la cohérence de l'univers qui force le respect.
Tout dans God of War a du sens, tout est interconnecté et pensé dans le but de prolonger le plaisir de jeu. Ainsi, rien que le gigantesque hub que forme Le Lac des Neuf vous ouvrira la voie vers plusieurs quêtes annexes qui, sans être passionnantes, vous permettront de visiter des lieux inédits aussi sublimes que ceux entraperçus durant la quête principale.
On saluera également la façon d'amener ces petits plus, soit par le biais des nains vous demandant des services, de cartes au trésor, de spectres réclamant notre aide ou d'Atreus poussant très souvent son père à aller explorer.
Logique vu l'impétuosité du garçon et pratique pour rappeler au joueur que rien ne presse, qu'il a le temps d'aller à son rythme.
Comme une sorte de leitmotiv, ce God of War aime prendre son temps grâce à un univers plus ouvert, plus contemplatif ou des combats plus ardus demandant aux joueurs d'user de toutes les subtilités de gameplay pour s'en sortir sans trop de heurts.
Toutefois, pour profiter pleinement du gameplay, il faudra savoir analyser les patterns des ennemis et surtout mettre à profit le combat à mains nues et à la hache en switchant constamment entre les deux pour utiliser les attaques associées ou pouvoir toucher certains ennemis insensibles à votre arme.
Dès lors qu'on a compris ceci, les affrontements deviennent exquis, déroutants pour le vieux briscard rompu à la série, mais jouissifs, surtout après quelques heures de jeu lorsqu'on commence à débloquer les arbres de compétences à notre disposition.

Kratos tranche, découpe, mais frappe avant tout en plein cœur du joueur.
Tour à tour féroce, contemplatif, émouvant et drôle, God of War redéfinit la série éponyme sans pour autant réfuter son passé auquel il est intimement lié par son histoire.
Nul doute que cet opus ne mettra pas tous les fans d'accord car en fonction des attentes, l'histoire de Kratos et d'Atreus vous parlera sans doute plus ou moins.
Pourtant, au-delà des choix opérés à tous les niveaux par les développeurs, God of War respire la sincérité et reste un gigantesque morceau de bravoure mû par son étonnante narration et sa volonté farouche de faire évoluer son héros tout en proposant une aventure incroyablement généreuse.
God of War avait marqué la PS2 et PS3 de son empreinte, ce nouveau volet s'impose de lui-même sur PS4, PS5 et désormais PC, comme le meilleur beat'em all de ces machines et accessoirement le meilleur représentant actuel du genre, rien de moins.
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144 Hours played
Annoncé à l’E3 dernier, Outriders est un jeu dont nous ne savions rien avant de découvrir le jeu à Varsovie, ville du studio People Can Fly.
Invité par le développeur et l’éditeur avec de nombreux autres médias européens, nous avons eu l’occasion d’en savoir plus sur le jeu, mais aussi d’y jouer, clavier ou manette en main.
On se retrouve par la suite dans un prologue permettant de nous familiariser avec les mécaniques du jeu, mais aussi l’univers et la planète Enoch. A savoir que ce prologue, d’une petite heure, se joue en solo. Et que l’on se le dise très clairement, ces premiers instants sont très poussifs.
On s’ennuie assez fermement et sur le plan scénaristique, l’idée d’être des sortes de scientifiques/colonisateurs arrivant sur une planète n’est pas très palpitant et déjà-vu.
Suite à toute cette introduction/tutoriel, nous nous retrouvons, scénario oblige, de nombreuses années plus tard, dans une planète cette fois totalement dévastée, laissant place ainsi à une Enoch post apocalyptique.
A notre réveil, nous nous retrouvons avec des pouvoirs paranormaux, donnant lieu à notre choix de classe/archétype. Nous avons eu l’occasion ici d’essayer les trois spécialisations annoncées : le Devastator, le Trickster et le Pyromancer.
L’occasion donc de rentrer cette fois-ci dans le vrai cœur du jeu. Dès ce moment, il est tout d’abord possible de jouer en coopération jusqu’à 3 joueurs, ce que nous avons fait sur notre première partie.
Après avoir choisi tout d’abord le Trickster, nous nous sommes familiarisés avec son premier pouvoir, une attaque au corps-à-corps avec une lame permettant de quasiment insta-kill l’ensemble des ennemis touchés.
Après une phase d’action nous permettant de nous lancer dans le bain, nous arrivons dans le hub du jeu. Dès lors, le jeu se révèle à nous tel qu’il est vraiment : un Destiny-like !
Un grand mot me direz-vous, et vous n’aurez peut-être pas tort si le genre n’est pas votre came. L’ensemble de notre session de jeu s’est – comme vous vous en êtes douté – résumé à une suite d’allers et retours dans le hub, à lancer des scènes de dialogue, rejoindre une porte pour lancer une quête, faire la quête, etc..
Concernant le contenu pur, nous avons ainsi eu l’occasion de faire les 2 premières grosses quêtes principales, deux quêtes annexes et un boss. Le hub propose de façon assez sommaire des dialogues avec des PNJ, des boutiques, mais rien de bien plus palpitant.
Le nerf de la guerre sera bien entendu les missions, et leur déroulé.
Sur ce point de vue-là, on se retrouve avec quelque chose de très linéaire. On avance vers une arène, on affronte une cinquantaine d’ennemis, on avance vers la nouvelle zone…
Ainsi de suite jusqu’à arriver au bout de la quête ou au boss du niveau.
Pour le coup, sur ce que l’on a joué, la répétitivité était clairement de mise. On espère que le jeu dans sa suite arrive tout de même à varier cette routine de jeu.
A noter d’ailleurs que les affrontements sont à la fois le point positif mais aussi un point négatif d’Outriders. En effet, d’un côté, c’est la seule phase de jeu où on se retrouve par moments avec un feedback plaisant manette en main.
Il est en effet plutôt agréable de se retrouver à massacrer d’un coup une dizaine d’ennemis car on a utilisé tel pouvoir, qui a fait une synergie avec celui de l’autre joueur, tandis que le troisième va avec un fusil à pompe créer de grosses éclaboussures sanguines.
C’est le seul moment où les phases d’action comme celles-ci fonctionnent vraiment car pendant le reste, nous nous retrouvons avec un cover-shooter où il n’est au final jamais nécessaire véritablement d’utiliser la couverture. On peut courir un peu n’importe où, tirer sur les ennemis à tout-va, on ne se fera que très rarement toucher de façon vraiment dangereuse pour notre personnage.
D’autant plus que le système de soin est lui pour le coup pas mal pensé, car il fonctionne sur le principe que votre barre ne se recharge qu’à deux occasions : lorsque vous venez de vider une arène, ou si vous exécutez un ennemi selon une condition unique à votre classe.
Le Pyromancer par exemple récupérera de la vie dès qu’un ennemi touché par une de vos compétences se fait tuer.
On se retrouve donc à enchaîner les ennemis en alternant compétences et armes récupérées. En parlant de l’arsenal, on retrouve d’ailleurs quelque chose d’assez classique mais fait de façon futuriste avec pistolet, mitraillettes, fusil à pompe, fusil à lunette… On nous promet d’ailleurs plusieurs centaines d’armes avec des designs de plus en plus fou au fur et à mesure de notre progression.
Du côté des combats de boss, c’est un peu la douche froide. Le rythme du jeu chute totalement, et on se retrouve devant un ennemi avec une grosse jauge de vie, des phases de combat très lisibles avec des AOE et des patterns à comprendre et esquiver. Le souci est que étant donné la vie du boss, que l’on soit de niveau 5 ou niveau 8, on prend toujours autant de temps à vaincre l’ennemi, le jeu s’adaptant à notre niveau.

Le souci c’est que Outriders est très plat en ce qui concerne l’ensemble des affrontements en général.
Il n’y a – à ce jour – aucune stratégie de point faible / résistance concernant les ennemis et nos personnages.
Il semble ainsi totalement incohérent que notre Pyromancer puisse mourir des flammes mais c’est le cas, comme un ennemi avec un lance-flammes ne peut mourir directement si on lui tire dans ses réservoirs.

Cela donne pour le coup un feeling très dépassé au jeu.
On espère que ce genre de choses évoluera par la suite pour proposer une expérience aux joueurs vraiment mieux sentie.
Globalement, même s’il se passe beaucoup de choses sur notre écran, il y a un aspect global nous rendant au final assez extérieur au jeu.
Et sur le plan de la forme, que peut-on dire de Outriders ?
Eh bien, malgré que le jeu soit visé pour une sortie sur PS5 et Xbox Series X, visuellement, on est très loin de la claque attendue.
Que ce soit sur les textures de bâtiments, des armes, de l’herbe ou encore des cheveux, on a l’impression d’être plutôt dans un début/milieu de génération PlayStation 4/Xbox One.
En termes d’éclairage par contre, on a pu voir un travail plutôt intéressant qui est fait. A voir dans la longueur et sur différents environnement que ceux que l’on a pu voir.

Au niveau sonore, le montage son semble plutôt sérieux avec des bruits d’armes à feu plutôt sympathiques et bien réalisés.
Le voice acting semble aussi pour le coup réussi, reste à voir sa qualité sur l’ensemble de la production.
Au niveau des musiques, clairement leur absence lors des phases de shoot se font remarquer, on espère également de ce côté-là que nous n’avons pas eu quelque chose de définitif sur ce que nous avons joué.
Au niveau des animations également, nous avons clairement vu qu’il y avait du travail sur ce point-là, donc on attendra le jeu final pour pouvoir en discuter réellement.
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Jamez Gamez 6 Aug @ 8:18am 
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^1BigBossMan1978 [BE] 30 Jul @ 5:51am 
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Jamez Gamez 28 Jul @ 7:36am 
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Jamez Gamez 10 Jul @ 11:55am 
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Grumpette 10 Jul @ 10:16am 
Hope you're having a fabulous Birthday! :catcake:
tbone 10 Jul @ 8:20am 
Happy Birthday Loreto :bloons: