Je ne m'attendais pas à pleurer devant mon écran à la fin du jeu.
Certes, Inmost est graphiquement magnifique (pour peu que l'on soit sensible au gros pixel-art), mais il cache une histoire dure psychologiquement.
La séquence (et révélation) finale arrive sans ménagement.
Inmost est beau, mais brutal.
Et niveau gameplay, le jeu se joue à 3 boutons, n'est pas nerveux (même si finir les niveaux du Chevalier sans se faire toucher peut être un peu coton) et est dans la veine d'un Metroidvania simpliste, mais pas inintéressant. C'est surtout un prétexte pour le message délivré par le jeu, surtout.