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Rapporter et oversættelsesproblem
Casque en main, regard félin.
Sur le terrain, il marchait droit,
Toujours le cœur entre deux choix.
Ses doigts dansaient sur les éclats,
Chaque silence annonçait le combat.
Tacticien froid, maître du plan,
Il connaissait chaque recoin lentement.
Les murs parlaient, il les écoutait,
Dans l’ombre, toujours, il se glissait.
Frères d’armes, cris dans le vent,
Un mot, un clic, puis plus rien de vivant.
Puis un matin, il a rangé ses gants,
Adieu la ligne, le front, le sang.
Plus de stratégie, plus de visée,
Juste un "GG" laissé figé.
On le croyait perdu aux abords d’un désert,
Mais il vit, paisible, sans plus de repères.
Il sourit parfois à un bruit sec,
Un souvenir... d’un tir parfait.
On parle de lui comme d’un vétéran,
Qui a quitté la scène, libre et serein.
Un jour, peut-être, il reviendra...
Sur Dust2, planter le C4.
Casque en main, regard félin.
Sur le terrain, il marchait droit,
Toujours le cœur entre deux choix.
Ses doigts dansaient sur les éclats,
Chaque silence annonçait le combat.
Tacticien froid, maître du plan,
Il connaissait chaque recoin lentement.
Les murs parlaient, il les écoutait,
Dans l’ombre, toujours, il se glissait.
Frères d’armes, cris dans le vent,
Un mot, un clic, puis plus rien de vivant.
Puis un matin, il a rangé ses gants,
Adieu la ligne, le front, le sang.
Plus de stratégie, plus de visée,
Juste un "GG" laissé figé.
On le croyait perdu aux abords...
Tsais le mec qu'a pas compris
Casque en main, regard félin.
Sur le terrain, il marchait droit,
Toujours le cœur entre deux choix.
Ses doigts dansaient sur les éclats,
Chaque silence annonçait le combat.
Tacticien froid, maître du plan,
Il connaissait chaque recoin lentement.
Les murs parlaient, il les écoutait,
Dans l’ombre, toujours, il se glissait.
Frères d’armes, cris dans le vent,
Un mot, un clic, puis plus rien de vivant.
Puis un matin, il a rangé ses gants,
Adieu la ligne, le front, le sang.
Plus de stratégie, plus de visée,
Juste un "GG" laissé figé.
On le croyait perdu aux abords d’un désert,
Mais il vit, paisible, sans plus de repères.
Il sourit parfois à un bruit sec,
Un souvenir... d’un tir parfait.
On parle de lui comme d’un vétéran,
Qui a quitté la scène, libre et serein.
Un jour, peut-être, il reviendra...
Sur Dust2, planter le C4.
Casque en main, regard félin.
Sur le terrain, il marchait droit,
Toujours le cœur entre deux choix.
Ses doigts dansaient sur les éclats,
Chaque silence annonçait le combat.
Tacticien froid, maître du plan,
Il connaissait chaque recoin lentement.
Les murs parlaient, il les écoutait,
Dans l’ombre, toujours, il se glissait.
Frères d’armes, cris dans le vent,
Un mot, un clic, puis plus rien de vivant.
Puis un matin, il a rangé ses gants,
Adieu la ligne, le front, le sang.
Plus de stratégie, plus de visée,
Juste un "GG" laissé figé.
On le croyait perdu aux abords d’un désert,
Mais il vit, paisible, sans plus de repères.
Il sourit parfois à un bruit sec,
Un souvenir... d’un tir parfait.
On parle de lui comme d’un vétéran,
Qui a quitté la scène, libre et serein.
Un jour, peut-être, il reviendra...
Sur Dust2, planter le C4.
Casque en main, regard félin.
Sur le terrain, il marchait droit,
Toujours le cœur entre deux choix.
Ses doigts dansaient sur les éclats,
Chaque silence annonçait le combat.
Tacticien froid, maître du plan,
Il connaissait chaque recoin lentement.
Les murs parlaient, il les écoutait,
Dans l’ombre, toujours, il se glissait.
Frères d’armes, cris dans le vent,
Un mot, un clic, puis plus rien de vivant.
Puis un matin, il a rangé ses gants,
Adieu la ligne, le front, le sang.
Plus de stratégie, plus de visée,
Juste un "GG" laissé figé.
On le croyait perdu aux abords d’un désert,
Mais il vit, paisible, sans plus de repères.
Il sourit parfois à un bruit sec,
Un souvenir... d’un tir parfait.
On parle de lui comme d’un vétéran,
Qui a quitté la scène, libre et serein.
Un jour, peut-être, il reviendra...
Sur Dust2, planter le C4.