Don Pliskin 最近的评测

Assassin’s Creed revelation clôture l’histoire d’Ezio Auditore, l’assassin le plus mythique de la franchise (devant Altair), qu’on accompagnait depuis sa naissance quand même.

Ubisoft n’ont pas intérêt à se foirer.
Et bah bravo, Ubisoft ont fait du bon boulot.

Malgré son âge le jeu ne pâlit pas devant les derniers opus de la franchise, Constantinople est magnifique en plus d’avoir sa propre atmosphère. Sérieusement je pense qu’aucun jeu ne m’a autant marqué par son ambiance, c’est peux être la nostalgie qui parle mais entre la bande son et ses habitants, cette atmosphère ne se laisse pas oublier. Avec ses rues étroites Constantinople offre la meilleure expérience de parkour jamais revus dans un assassin’s creed par la suite.

Pour ce qui est du gameplay, comme ultime jeu de cette trilogie on garde le meilleur des précédents opus, en y ajoutant quelques nouveautés.

On n’aurait pas pu mieux faire nos adieux au plus grand assassin de la série qu’avec cet AC revelations qui malheureusement n’est pas celui qui as marqué le plus les joueurs. Pourtant avec son ambiance très marquante, sa ville justifiant vraiment le parkour et un gameplay solide cet AC est de loin un des meilleurs. Même si le scénario n’apporte finalement aucune révélation.

Depuis son commencement Far cry est un jeu d’action en vue subjective qui propose des opens world dans des endroits magnifiques. Le premier est assez proche de la recette actuelle, on découvre un terrain de jeu paradisiaque… ou on sera amené à tuer des milliers de gens, tout ça pour tuer le grand méchant. Pour arriver à notre objectif, on sera amené à manipuler différentes armes, de la machette au RPG-7, on y conduira divers véhicules du terrestre à l’aérien en passant par le naval. Donc du classique Far Cry dans ce qu’on connait maintenant… jusqu’au moment où on se bat contre des monstres ? voilà ce qui déconne dans ce Far Cry, en plus que maintenant ça a plutôt mal vieillit.

Le second voudra casser l’aspect science-fiction du premier à tout prix. On quitte les îles paradisiaques, direction l’Afrique. On enterre le gameplay plutôt arcade du premier maintenant nos armes dérailles et notre santé aussi, on incarne un mercenaire atteint de la malaria qui se battra pour survivre et se payer son traitement. En fait ce second opus est le moins far cry de la franchise, dommage c’est un jeu à faire en tout cas.

Far Cry 3 chef d’œuvre pour beaucoup, une grande liberté de jeu avec un open world magnifique, des missions culte (bruler le champ de cannabis avec du skrillex dans les oreilles) et un méchant tout aussi culte, Vaas. Le méchant le plus Iconique de tous les jeux vidéo avec pourtant un temps d’apparition si court. En créant Vaas, ubi c’est condamné en même temps. Pour que le dernier far cry se vendent ils ont été obliger de réutiliser ce personnage, qui en plus n’est même pas le grand méchant du jeu d’origine. Vaas à la manière de Dark Vador a dépassé son œuvre d’origine. Maintenant Far Cry n’est plus un FPS bac à sable dans un open world qui fait rêver, c’est avant tout un jeu avec un méchant. Et la définition de la folie donnée par Vaas illustre parfaitement ubisoft. » Insanity is doing the exact... same ♥♥♥♥♥♥♥ thing... over and over again expecting... ♥♥♥♥ to change...”

Fini le cours d’histoire sur les précédents Far Cry passons au présent, pas Far cry 6 car c’est une évaluation positive que j’écris. Présent d’il y’a neufs ans on va dire.

On quitte encore une fois les îles tropicales, cette fois si pour le kyrat, une ville fictive inspirée du népal au cœur des montagnes himalayennes. Et c’est suffisamment rare pour le souligner, c’est dépaysant et magnifique. Le jeu a gardé de sa sublime grâce à ce cadre. Pourquoi ce genre de paysage est sous représenté dans le jeu vidéo, les seuls exemples que j’ai, sont Raji et ce far cry. En plus de ce Népal fictif, on y trouve d’autres terrains de jeux encore plus fantastiques au détriment du monde ouvert omme Shangri La.

L’aventure démarre sur des chapeaux de roues avec l’une des meilleures introductions de jeux vidéo, et témoigne dès le début d’une très bonne qualité d’écriture pour ce qui est des personnages,
Malheureusement, vient très vite la maladie Ubisoft, ils ne nous laissent pas le temps. Les personnages veulent parler mais ubisoft intervient pour nous empêcher d’écouter. Et ceux dès les premières minutes du jeu, On est poussé à s’enfuir vite du Palais ce qui nous empêche d’écouter de très bonnes lignes de dialogues. Ces symptômes se répèterons souvent dans le jeu pour « préserver » l’action.

Far Cry 4 est-il juste une copie conforme de Far Cry 3, non du tout. Le gameplay est encore plus énervé on n’est qu’à un pas d’un fast FPS. L’aspect sandbox est encore plus renforcé Ajay à un arsenal bien meilleur que Jason, on voit que les possibilités de jeu sont incroyables en se perdant sur youtube. On est le prédateur.

Malgré des personnages bien écrit, si on les écoute. Le scénario est finalement peu convaincant, pourquoi on est devenu le prédateur ? À la base on est venus juste pour déposer les cendres de notre mère. En plus Pagan Min à l’air vraiment sympa, pourquoi on détruit tout son royaume et tuons des milliers de pauvres soldats. Mais si on oublie de se poser la question du Pourquoi, le scénario est vraiment bon et sans aucun doute le meilleur de la franchise.

Passons maintenant à ce qui est devenu la marque de fabrique des Far Cry le méchant. Pagan Min, est-ce que c’est juste une tentative foireuse de faire un Vaas 2.0. Pas du tout. Pagan Min est un sociopathe cohérant très bien écrit qu’on ne déteste pas. En fait Pagan Min n’est pas un vilain moi je l’aime bien et lui aussi nous aime bien, est-ce que ce n’est pas nous le méchant au final ?

Donc un gameplay très efficaces, des personnages bien écrit et le dépaysement du kyrat font que ce Far Cry 4, est pour moi le meilleur de la franchise et a sa propre identité.

L’expérience métro jusque-là ne m’avait pas trop plu, last light était un peu bon mais 2033 était plutôt médiocre à mon gout.
Il était temps que je fasse comme Artyum et que je sorte enfin, je veux dire par là que j’ai joué à Metro Exodus pas que je sois vraiment sorti dehors, non, non, pas le temps pour ces bêtises.

Ce que je reproche habituellement aux « open world » c’est que donner autant de liberté au joueur tout en voulant narrer une histoire est souvent mal réalisée.
Mais au contraire dans ce Metro Exodus (c'est un monde semi-ouvert) j’avais l’impression que n’importe quels endroits où j'allais, que n’importe quels combats que je faisais était prévus et maîtrisés.

Rarement fans des FPS, le travail pour renforcer l’immersion est dingue et n’aurait pas pu rendre aussi bien autrement qu’avec ce point de vue.

Je n’aime pas les FPS mais les road movie, OUI, ce Metro mélange ce style avec le post apocalyptique. Un scénario très bon nous faisant voyager dans une Russie plus ou moins désolée et servie avec des personnages plus ou moins secondaires tous très bien écrit avec qui on vivra une année de périple intense.
J’insiste sur ce « vivra » car entre les poses clopes, les verres bus et les buffs en guitares avec nos compagnons et toutes les discussions pendant ces instants simples du quotidien , rendent ces personnages tellement attachants et vivants.

C’est pour toutes ces raisons que je recommande ce Metro Exodus, c’est un de mes jeux préférés maintenant, merci 4A games

It's a good port











I LIED

Dans WTWTLW (plus rapide) on incarne un vagabond qui marche à travers les états unis, dans le but d’écouter et raconter des histoires, ce qui est sa seule façon de payer sa dette au diable.

C’est donc un jeu très calme ou on sera amené à vivre des petits évènements plus ou moins divers, ces événements sont des petites nouvelles interactives où on devra faire des choix.
Ces choix pourront influencer l’histoire qu’on racontera (ex une histoire drôle peux se transformer en une histoire d’horreurs). On vit ses évènements pour les raconter à d’autres vagabonds qui eux à leurs tours les raconteront tout en les modifiant, (ex « une femme se cache sous sa maison car elle as peur de ses vaches » se transforme en « Des vaches locataires s’en prennent à la propriétaire »)

Donc les histoires contées sont très chouettes, et sa DA est très jolie avec des dessins fait à la main et beaucoup de couleur. Bien que les histoires soit la plupart très sympas, il y’en as 237 et c’est difficile d’écrire autant d’histoires toutes aussi bonnes. Pour finir avec le négatif le jeu souffre aussi de pas mal de ralentissements sans trop de raison.

Détail mais pas des moindres le succès « where the water taste like wine » où on est censé trouver ce fameux endroit, il ne peut être obtenu sans tricher. Cet endroit serait le paradis l’impossibilité de le trouver est logique.

Mafia 3 c’était fait bâcher à sa sortie en 2016 pour de nombreuses raisons, mais surtout à cause de ses nombreux bugs. L’ayant essayé à l’époque (7 ans c’est beaucoup) sur playstation 4 j’en gardais malgré tout un bon souvenir. Je décide enfin de le faire, cette fois sur steam.
Quelle honte. Je ne sais pas si tous les bugs que j’ai rencontré sont juste sur ma version.

AMD Ryzen 5 5600H with Radeon Graphics 3.30 GHz
Nvidia GeForce RTX 3060 Laptop
Windows 11

C’est possible que tous les bugs que j’ai rencontrés soit à cause de Windows 11. Mais bon je n’ai pas passés un bon moment.
Bien que le gameplay de ce mafia 3 ne soit pas original, sur les bugs il y a eu de l’idée ça passe d’explosions aléatoire sur la map à des chargements infinis jusqu’à des missions impossible à compléter sans relancer plusieurs fois le jeu.
Quel gâchis parce que je sais que Mafia 3 as une bonne narration, des bons personnages et des cinématiques avec de bonnes mises en scènes, mais en fait durant toute ma partie je n'ai vu que 3 cinématiques. Sinon c’étaient des images fixes avec en fond le son de ce qui s’y passe. Ducoup pour profiter du jeu je vais devoir mater un game movie sur youtube. Tant pis.
Je ne recommande donc pas ce jeu, tant son état en 2023 est catastrophique.

L’histoire du jeu ressemble beaucoup aux films one piece, écrit par Eichiro Oda en plus. Mais c’est moins bien à cause d’énormément de longueurs. Le scénario va trouver une excuse pour nous faire revivre les arcs, Alabasta, Water Seven, Marineford et dressrosa pour nous les faire détester.

Luffy qui veux devenir l’homme le plus libre du monde, sauf dans ce jeu, en plus de nous couper toutes les 10 minutes dans notre exploration, luffy est super lent et rigide, le comble pour un mec élastique.
On joue donc les mugiwaras post dressrosa, on peut donc s’attendre à des combats bien nerveux et puissant. ? Le système de combat est à la façon des jrpg, au début c’est addictif, mais ça devient très vite long et chiant quand on est coupé pour la centième fois par des pokemons tout moche qui n’ont pas leurs places dans One Piece. Les animations des attaques sont en revanche incroyables et très bien animées.

Donc le jeu est mou à mort en plus d’être long tout ça pour à la fin du jeu laisser un mauvais souvenir sur les meilleurs arcs de l’œuvre.

Pour l'instant le jeu est "juste" bon,
undisputed n'est pas un simulator malgré ce que disent les développeurs et ne possède pas de mode carrière pour l'instant,
le jeu est en accès anticipé et les devs ont l'air assez motivé, avec le mode carrière qui devrait arriver prochainement,
et combien de jeu nul à leur sorties en accès anticipé sont des masterclass aujourd'hui ? beaucoup
ça reste la meilleur alternative de jeu de boxe sur steam/pc et de loin

Amnesia: Rebirth est un jeu incroyablement immersif et angoissant, malgré qu'il fait beaucoup moins peur que les autres Amnesia avec seulement 2 à 3 sursauts maximum. Cependant, le traitement original de la maternité dans l'histoire et les personnages bien développés compensent cette absence de peur.

L'histoire est captivante, mettant en avant la relation entre la mère et l'enfant, traitée de manière extrêmement poignante. Le personnage principal, Tasi Trianon, est enceinte et se retrouve dans une situation désespérée alors qu'elle tente de sauver son enfant à naître et de faire face au deuil de son premier enfant.

Amnesia: Rebirth ressemble beaucoup plus au premier Amnesia qu'à A Machine for Pigs. Les joueurs n'ont pas accès à une source de lumière illimitée et doivent être plus stratégiques dans l'utilisation de leur éclairage. De plus, la possibilité de combiner certains objets pour créer des outils ou résoudre des énigmes ajoute une dimension supplémentaire au gameplay, renforçant l'immersion dans l'univers effrayant du jeu.
En plus de son retour aux sources, Amnesia: Rebirth reste fidèle à l'ambiance immersif de la série en offrant la possibilité d'interagir avec la plupart des objets dans les décors. Cela ajoute une dimension supplémentaire de réalisme et de crédibilité à l'univers du jeu, en plus de permettre aux joueurs de découvrir des détails supplémentaires sur l'histoire et les personnages.

Malgré cela, il y a quelques défauts dans le jeu. Les transitions entre les passages d'actions et les énigmes sont trop brutales, ce qui casse un peu le rythme de l'histoire.Cela n'a pas gâché mon expérience globale. Amnesia: Rebirth est un jeu incroyablement immersif et angoissant qui m'a tenu en haleine du début à la fin. Je recommande tout de même ce jeu aux fans de survival horror et aux amateurs de la série Amnesia.

Oui, un peu en tout cas. Je vous explique
Donc cet AC prend place en Norvège et en Angleterre on y incarne un viking (clairement pas un assassin) qui va essayer de conquérir l’Angleterre. Pour moi ce jeu est la fin de la trilogie lancée par Origin en 2017 dans laquelle le scénario est très éloigné des assassins et ou le jeu prend place à chaque fois dans une mythologie différente.

Aussi la fin, je l’espère, du système RPG dans les AC (et tous les nouveaux jeux Ubi depuis 5 ans). On le voit déjà un peu avec valhala car il n’y a plus de niveaux mais un système de puissance. On gagne de l’expérience en faisant des quêtes etc… et après tant d’XP on gagne deux points de compétences qui permettent en les attribuant de gagner de la puissance. Alors je ne sais pas pour vous mais ça ressemble beaucoup à de la queue, et je pense que Ubi ont fait ça à la dernière minute en voyant le ras le bol général de la commu après Odyssey et son aspect surRPG. Pourquoi je pense ça : car de 1 ce système est con ? de 2 ça complique la lisibilité dans les combats on va se retrouver souvent contre un ennemi beaucoup trop fort et s’en rendre compte trop tard, et de 3 il y a 3 branches dans cet arbre de compétence qui permettent de se spécifier dans un type de gameplay : distance, bourrin et discrétion (discrétion ahah) mais ça ne sert à rien car le jeu va vous donner assez de point de compétences pour que vous soyez bon partout. Ensuite autre point qui me fait penser que c’est la fin du RPG ce sont les armures et armes qui maintenant n’ont pas de stat aléatoire et vous n’en looterez pas des centaines, vous devez assembler vos armures de la tête au pied pour bénéficier d’un bonus propre à cette armure (vraiment un bon point).

Pour ce qu’il en est du gameplay et de l’abandon total de la discrétion (ahah), on joue un viking donc c’est difficile d’imaginer un viking sur des toits en train d’utiliser une lame secrète. C’est pour ça que vous ne ferez jamais ça en plus j’ai trouvé que les fights étaient tellement satisfaisants avec les têtes qui tombent les exécutions différentes sur chaque type d’ennemi etc… et aussi les compétences qui font de vous une vraie machine de guerre. Après j’ai joué claymore pendant tout le jeu ça m’a peut-être rappelé un peu (légèrement) berserk. Après, le parkour est vraiment mauvais, je ne sais pas comment ils ont pu régresser à ce point.

Mon avis sur le scénario, bah c’est mitigé car comme pour les derniers AC l’histoire nous emmènera à visiter les différentes zones de la map. Dans celui-ci ce sera pour recruter des alliés, bon moi je trouve ça un peu nul déjà sur le papier, à faire c’est encore plus nul, une fois que vous aurez fait les 2 premières zones vous avez compris ce qu’il se passera dans toutes les autres zones avec quelques petits changements un peu rigolo mais rien de très fou. Les alliés qu’on sera amené à recruter ne sont pas très intéressants à part quelques exceptions. Mais sinon j’ai vraiment adoré ce que j’appelle le vrai scénario le début en Norvège, la relation entre Eivor et Odin, le changement dans la relation entre Sigurd et Eivor, les conflits internes suite à l’absence de Sigurd et la fin qui est vraiment intéressante. En gros le début et la fin.

21 zones voilà le plus gros problème de ce jeu il y a beaucoup trop de contenus pour pas grand-chose ça lasse tellement. J’étais très content au début de faire les mystères (belle inspiration de rdr2 mais forcément ils l’ont moins bien fait) mais il y en a 233 mystères ! c’est vraiment trop. Trop de contenus tue le contenu. Trop de coffres, trop d’artefacts trop de points de synchronisation bref trop de tout. Même si ce valhalla a essayé de sauver les pots cassés après Odyssey pour moi c’est pas encore suffisant.