Steam'i Yükleyin
giriş
|
dil
简体中文 (Basitleştirilmiş Çince)
繁體中文 (Geleneksel Çince)
日本語 (Japonca)
한국어 (Korece)
ไทย (Tayca)
Български (Bulgarca)
Čeština (Çekçe)
Dansk (Danca)
Deutsch (Almanca)
English (İngilizce)
Español - España (İspanyolca - İspanya)
Español - Latinoamérica (İspanyolca - Latin Amerika)
Ελληνικά (Yunanca)
Français (Fransızca)
Italiano (İtalyanca)
Bahasa Indonesia (Endonezce)
Magyar (Macarca)
Nederlands (Hollandaca)
Norsk (Norveççe)
Polski (Lehçe)
Português (Portekizce - Portekiz)
Português - Brasil (Portekizce - Brezilya)
Română (Rumence)
Русский (Rusça)
Suomi (Fince)
Svenska (İsveççe)
Tiếng Việt (Vietnamca)
Українська (Ukraynaca)
Bir çeviri sorunu bildirin
la bise.
-invocateur-or
Derrière les rochers une chienne inquiète
Nous regardait d'un oeil fâché,
Epiant le moment de reprendre au squelette
Le morceau qu'elle avait lâché.
- Et pourtant vous serez semblable à cette ordure,
A cette horrible infection,
Etoile de mes yeux, soleil de ma nature,
Vous, mon ange et ma passion !
Oui ! telle vous serez, ô la reine des grâces,
Après les derniers sacrements,
Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses,
Moisir parmi les ossements.
Alors, ô ma beauté ! dites à la vermine
Qui vous mangera de baisers,
Que j'ai gardé la forme et l'essence divine
De mes amours décomposés !